Monique Ch. 02

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Babes

Traduction d’un texte de « Kayce 69 »

**********

Rapidement, nous partîmes en voiture. Le retour à la maison se fit en silence. Ensuite, je préparai deux verres et nous nous sommes assis dans le salon. En la regardant, je lui dis :

– Bon.

Elle prit une grande gorgée de son verre, me regarda et s’éclaircit la gorge :

– Je ne voulais pas aller jusque-là. Ça a échappé à tout contrôle. S’il te plaît, crois-moi! Je t’aime, peux-tu me pardonner?

Je dévisageai ma belle femme. Mais je dois être honnête. Tout ce que je pouvais voir, c’était sa bouche grande ouverte avec la bite d’un étranger à l’intérieur. Mais je répondis :

– Oui, je t’aime aussi. Mais j’ai besoin de savoir pourquoi et de connaître tous les détails. Quand je saurai tout, alors nous pourrons peut-être résoudre ce problème.

Elle me sourit. Je pense que les mots « je t’aime » lui avaient redonné du baume au cœur. Je serrai les dents dans l’attente de ce qu’elle allait dire.

– Tu te souviens des quatre hommes qui sont venus pour installer la salle de bain et le chauffage central?

Je hochai la tête.

– Eh bien, ça se passa le mercredi. Si tu te rappelles, j’avais une séance de photo le matin. Alors j’étais partie avec toi sans rien ranger à la maison.

Elle prit une autre gorgée.

– Je m’étais habillée d’un petit haut léger et d’une jupe courte avec des bas. Tu sais que je me suis toujours sentie sexy de parader avec des jupes courtes à plis au ras des bas et des petits chemisiers. Lorsque je suis revenue à la maison, les ouvriers travaillaient dans notre chambre. Donc je ne me suis pas changée et j’ai été ranger la maison. S’il te plaît, puis-je avoir un autre verre?

Je la servis. Elle me remercia quand je lui tendis le verre. Puis je retournai m’asseoir.

– Je me suis lavée puis je suis retournée dans la chambre pour faire le lit. Bêtement, je me disais que ça devait paraître en désordre pour les ouvriers. Donc je suis entrée, j’ai souri aux deux hommes qui travaillaient sur la tuyauterie et je me suis mise à refaire le lit. J’étais penchée pour tirer la couverture vers le haut quand je sentis une main me caresser le dos de la jambe. Je voulais l’arrêter mais c’est comme si j’avais reçu une décharge. Je restai immobile. Ils savaient et je savais que je respirais fort. Quelque chose m’empêchait de bouger alors ils devinrent plus hardis. Je sentis la main remonter plus haut sur ma cuisse. J’allais dire non quand une seconde main m’a touchée. Je sentis mes genoux buter contre le lit. Maintenant les mains me chatouillaient sur ma peau nue juste au-dessus des bas. J’étais sur le point de les arrêter quand la porte s’ouvrit et qu’un troisième homme entra.

Ma femme prit une longue gorgée de boisson et continua :

– Cet homme était le plus âgé et le plus grossier du groupe. Il me regarda alors que j’étais penchée sur le lit, les mains de ses collègues sous ma jupe. Il rigola et dit : « Qu’avons-nous ici? Est-ce une femme au foyer solitaire qui a besoin d’être baisée? ». Il passa de l’autre côté du lit pour se trouver face à moi et ajouta : « Bien chérie, si ton mari ne peut pas le faire et que ta chatte sous-utilisée demande une baise, nous allons te satisfaire ».

Les yeux de Monique se relevèrent et me regardèrent pour observer ma réaction. Je sus que j’étais sur le point d’entendre des choses que je n’avais pas vraiment envie de savoir. Elle continua :

– L’homme âgé mit sa main sur ma poitrine et la serra. Idiotement, je n’avais pas remis mon soutien-gorge. Alors je gémis de douleur tandis qu’il souriait. Il dit : « Oh oui, ils sont jolis, gros et bien fermes. Je pense aussi que tes tétons doivent se dresser. Je pense que ça ne va pas te déranger si je jette un œil. J’ai bien l’impression que ça ne va pas te déranger si nous sautons les formalités et que nous te déshabillons tout de suite. Tu as l’air d’avoir un beau corps donc il faut nous le montrer. Et je suis sûr que ta chatte est déjà chaude et humide. ». Je savais que ça devait s’arrêter. Avec du mal j’ai réussi à dire non et j’ai essayé de m’enfuir. Je voulus m’agenouiller sur le lit, je devais m’échapper. Mais alors que je mis un genou sur le lit, les hommes saisirent mon autre jambe. Ce qui fit que mes cuisses étaient grandes ouvertes.

Ma femme finit son verre et continua sans me regarder. Je vais vous retranscrire exactement ce qu’elle m’a dit.

***********

J’ai essayé de les supplier. Je leur ai demandé d’arrêter ce qu’ils faisaient. Mais un des hommes mit son genou derrière le mien, me prenant au piège, jambes écartées. Il me sourit en me disant :

– Oui, oui, peut-être plus tard, mais d’abord je veux prendre ça dans mes mains.

Ses mains tripotèrent mes seins et trouvèrent bientôt mes tétons durcis. Il commença à les pincer en continuant :

– Je crois que ça sera bien pour nous deux quand je les aurai dans ma bouche.

Il commença alors à me déboutonner le chemisier. Je tendis la main, mais les deux hommes derrière moi avaient atteint ma culotte. kuşadası escort Pendant que l’homme jouait avec mes mamelons, ils avaient tiré le tissu de ma culotte sur le côté et leurs doigts exploraient mon intimité. Je ne pus les empêcher d’enfoncer leurs phalanges dans ma chatte et mon cul. Leurs bras tenaient mes jambes, leur bouche embrassant et léchant mes cuisses.

Je dus reposer ma main pour me stabiliser, alors l’autre homme continua à déboutonner mon chemisier. Il arracha les deux derniers boutons et il eut accès à ma poitrine. Je ne pouvais pas l’arrêter. Il était méchant et prenait plaisir à pincer et tordre mes mamelons.

Puis le quatrième ouvrier est arrivé. C’était le plus jeune. Il cria en voyant ce qui se passait.

Oh mon Dieu, comment cela a-t-il pu m’arriver? j’étais penchée sur notre lit, un homme jouant avec mes seins, roulant mes tétons entre ses doigts, et deux autres me doigtaient le cul et la chatte. Et je ne les arrêtais pas.

Le jeune garçon m’enleva mon chemisier avant d’attaquer ma poitrine avec sa bouche. Au même moment les autres déchirèrent ma culotte et continuèrent à enfoncer leurs doigts dans ma chatte et mon cul.

Leurs mains bougeaient très vite et je les sentais en moi. Ma tête tomba et je ne pus m’empêcher de gémir. Le vieil homme continuait de tripoter mes seins et il se moquait de moi alors que je les laissais faire ce qu’ils voulaient de moi.

***********

Je sentis que ma femme avait besoin d’un autre verre alors je m’empressai de lui verser sans rien dire. Et elle continua.

***********

Tout en me malmenant, les hommes ont commencé à me soumettre. Le patron a tiré mes mains vers lui. Il m’a fait ouvrir son pantalon et il m’a dit que je devais sortir sa grosse bite. Il a saisi mes cheveux et a dit :

– Allez salope, tu ne nous arrêteras pas. Tu peux bien faire semblant de résister mais tu sais que nous allons te baiser. D’ailleurs nous allons commencer avec cette mignonne petite bouche qui est prédestinée à sucer des bites.

Il tira ma tête jusqu’à sa queue trempée de sueur et il me força à la prendre dans ma bouche. Sa bite était longue et épaisse. C’était horrible, mais il me fit la sucer.

Alors que ma bouche grande ouverte était remplie avec ce membre, je ne pouvais empêcher les autres de se servir de moi. Leurs mains étaient entre mes jambes et ils baisaient ma chatte et mon cul pendant que le jeune continuait à sucer mes seins.

Ce n’était pas tendre. Ces hommes étaient très rudes. Le patron me tenait fortement et me forçait à baisser la tête, pour emplir ma bouche de son membre. Il me tenait par les cheveux et faisait monter et descendre ma tête sur sa bite jusqu’à ce que ses hanches cognent mon visage. Il a tenu ma tête alors qu’il jouissait, remplissant ma gorge de son sperme.

J’ai toussé et j’ai craché son jus. Il m’avait presque étouffé avec sa bite sale, mais il s’en foutait. Puis ces hommes m’ont enlevé ma jupe. Honnêtement, j’ai essayé de les arrêter, mais ils me tenaient les mains pendant qu’ils jouaient avec mon corps, me tripotaient, suçaient et tiraient mes mamelons, enfonçaient leurs doigts dans ma chatte et mon cul. Ils m’embrassaient et leur langue envahissait ma bouche jusqu’au moment où ils me firent tomber sur le lit.

Je ne portais plus que des bas. Un homme m’a saisi brutalement la tête. J’ai senti une bite entre mes jambes alors que l’on tournait mon visage pour que je suce une autre queue. Le gars me tenait fermement la tête et il a ouvert ma mâchoire en la tirant vers le bas avant de forcer toute la longueur de sa bite bien raide dans ma bouche.

J’étais couchée sur mon lit, notre lit conjugal et je suçais une queue alors que mes jambes étaient tenues grandes ouvertes face à un autre homme. Celui-ci prenait du plaisir à jouer avec ma poitrine, ses doigts tordant mes tétons tandis que sa bite s’enfonçait dans mon ventre. Je pouvais voir les deux autres hommes se déshabiller. Je savais qu’ils allaient m’utiliser à leur tour. Je n’étais plus qu’une putain ordinaire pour eux. Mais j’étais baisée si rudement que je ne pouvais pas dire non

***********

Ma femme but la moitié de son verre très vite. Je suppose qu’elle était excitée et honteuse de me raconter tout ça. J’attendis qu’elle continue, mais ce ne fut pas long.

***********

Un troisième homme s’est approché. Encore une fois, je ne pouvais pas l’arrêter. Il prit la place de l’autre. Il me pinça le nez et me tint fermement la mâchoire pour enfoncer sa bite dans ma bouche. Ces ouvriers me tenaient les bras et et m’empêchaient de bouger jusqu’à ce que je finisse de sucer l’homme et que j’avale sa décharge de foutre. Ils se moquèrent de moi pendant qu’il giclait dans ma gorge. Puis un autre ouvrier vint se placer devant ma bouche et me présenta sa queue.

J’avais déjà mal à la bouche, mais en regardant cette longue bite bien dure, je n’ai pu m’empêcher de la vouloir. Lui ne le savait pas, car il a dit à ses copains de bien me tenir, qu’il voulait kocaeli escort aussi me baiser le visage et vider ses couilles dans ma bouche. Mais j’allais le laisser faire.

Ils ont rigolé en me positionnant à genoux. Ils savaient que je ne pourrais pas arrêter de sucer leur bite. Alors, quand les doigts jouaient avec mon cul, ma chatte, qu’ils bougeaient en moi et qu’ils s’amusaient avec mes mamelons, je devenais de plus en plus excitée.

Ils se tenaient autour de moi en me disant qu’ils avaient décidé que la meilleure façon de me faire tenir tranquille était de remplir ma bouche avec une queue. Et qu’il fallait que je les laisse faire, parce que si j’essayais de les arrêter, ils utiliseraient leurs doigts pour exciter ma chatte.

Tandis que je suçais la bite dans ma bouche, l’un d’eux a pensé que ce serait amusant de me mettre sur le visage de leur chef.

L’homme avec sa queue dans ma bouche n’a même pas arrêté de me baiser alors qu’ils me mettaient sur le visage du patron. Cet homme avait une longue langue et il était expert en léchage de chatte. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir alors qu’il titillait mon clitoris et enfonçait sa langue plus profondément dans ma chatte. Mon excitation était incontrôlable.

Les autres se sont amusés avec mes seins. C’est à ce moment-là que j’ai pris la bite plus profondément dans la gorge. l’homme qui me baisait la bouche m’a demandé alors de caresser ses couilles jusqu’à ce qu’il jouisse.

C’est là qu’ils ont compris que j’étais prête à jouer avec eux. Les remarques grossières ont commencé, ils ont ti en m’humiliant :

– C’est une bonne suceuse, elle en demande toujours plus. C’est une salope, nous allons pouvoir faire tout ce que nous voulons. Cette chienne va se laisser utiliser. Qui veut commencer à la baiser?

Le jeune garçon qui devait juste être majeur se moquait de moi en jouant avec mon sein gauche. Il disait :

– Allez Monique, ça ne te gêne pas si je te baise? J’ai déjà giclé dans ta bouche donc joue avec ma bite, pose tes mains dessus et caresse le pour que je sois le premier à utiliser ton joli cul serré.

Le quatrième homme suçait mon mamelon droit. C’était nouveau pour moi tous ces hommes qui me tripotaient, qui voulaient me faire ce qu’ils voulaient. Je les regardais avec leurs bites toutes longues et bien dures. J’étais sur le point d’être gangbanguée. Je savais qu’ils allaient tous me baiser et que je n’arrêterai pas d’avoir des orgasmes.

Et j’avais raison, j’ai été baisée toute l’après-midi. Quand les uns finissaient, les autres recommençaient. Il était impossible de les arrêter, ils me baisaient en continu, parfois à un ou deux en même temps. Mon Dieu, je ne pouvais pas les arrêter. J’ai bien essayé de me débattre et de les frapper avec mes mains, mais ils rigolaient en bloquant mes bras puis leurs doigts recommençaient de m’exciter et leurs queues suivaient peu après. Et cela pas seulement une fois, mais encore et encore.

*****

Elle but l’autre moitié de son verre et continua.

*****

J’ai encore le souvenir d’être allongée sur notre lit, du sperme s’échappant de ma chatte et de mon cul qui venaient juste d’être baisés, et de regarder, épuisée, les hommes vicieux qui viennent de profiter de moi sortir de la chambre.

*****

Elle prit une profonde inspiration.

*****

Je me vois encore lever les mains pour dire non au suivant qui s’approche de moi. Mais il se contente de repousser mes bras alors qu’il s’allonge sur le lit.

Il commence à m’embrasser, tenant ma tête alors que sa bouche broie la mienne. Puis ses mains tripotent mes seins et ils jouent avec mes mamelons,

S’ils étaient plusieurs, alors un autre attaquait ma chatte avec ses doigts ou sa langue et jouait avec mon clitoris. Et alors je me rendais et j’entendais les ricanements moqueurs alors que j’ouvrais les jambes pour qu’ils me baisent à nouveau.

Je ne pouvais pas te le dire. Comment aurais-je pu te dire que j’avais été enculée dans notre lit, que j’avais pris tellement de positions pour que ma chatte, mon cul et ma bouche soient utilisés tous l’après-midi par d’autres hommes, que mes mamelons étaient douloureux d’avoir été continuellement sucés et tirés.

J’ai essayé de me faire pardonner même si j’étais courbaturée. Comme j’étais toujours excitée, j’ai essayé de te faire l’amour ce soir-là, mais tu n’as pas voulu.

A l’aube, en me réveillant je me suis dit que si tu me laissais seule à la maison, ils recommenceraient. Et même si je leur disais non, ils me soumettraient, me tripoteraient avec leurs mains et me maltraiteraient jusqu’à ce que je ne puisse plus rien refuser. Donc j’ai pensé que je devais sortir de ma maison et partir avec toi.

Je t’ai demandé pour t’accompagner, mais tu n’y a pas fait attention, trop submergé dans ton travail. Et le fait que tu ne sois parti qu’après leur arrivée a été pénible. La façon dont ils m’ont souri m’a fait comprendre qu’ils savaient que je ne t’avais rien dit.

Donc quand j’ai été konya escort cherché mon manteau pour sortir, deux d’entre eux m’attendaient. Ils m’ont attrapée et m’ont retenue par les bras. J’ai attendu ton aide, mais tu n’as même pas fait attention à moi.

Je me souviens très bien. Je suis entré dans notre chambre et ils m’ont attrapée. Puis ils m’ont poussée contre le mur, mis un doigt sur mes lèvres et une voix a dit :

– Ne dis rien et garde tes bras le long de ton corps, tu ne vas nulle part. Tu n’auras que le droit de bouger ta chatte sous nous, les genoux levés et les jambes grandes ouvertes.

Je me suis débattue et il a dit :

– NON!

Le doigt sur ma bouche a forcé mes lèvres et s’est enfoncé profondément.

– Ne te débats pas, ça ne sert à rien. Nous allons encore nous amuser avec toi toute la journée.

Il m’a léché le visage et répété :

– Toute la journée.

Ils étaient deux à me tenir plaquée conte le mur de la chambre. Ils ont commencé à m’embrasser pour m’empêcher de parler. Je ne pouvais pas les en empêcher alors j’ai fini par les laisser faire.

Le fait que tu sois au rez-de chaussée en train de préparer tes affaires alors que deux d’entre eux étaient à l’étage avec moi, leurs mains tripotant mon corps, m’a excité rapidement. Ça me faisait des choses, j’étais fascinée par leur audace.

Ils ont rapidement défait les boutons de mon chemisier en me riant au nez et en disant :

– Allez bébé, ton mari à la bite molle ne saura pas que nous te touchons les seins. Il ne va pas nous empêcher de jouer avec. Nous avons aimé nous branler entre hier, alors pourquoi aujourd’hui serait différent.

Encore une fois ils ont été brutaux. L’un d’eux m’a souri en me tenant la tête, puis il a forcé sa langue dans ma bouche. Son autre main était dans mon chemisier et tripotait mes seins avant de faire rouler mon mamelon durement entre ses doigts.

Ils se sont mis à genoux et leurs mains ont remonté ma jupe. Puis une main a tiré ma culotte sur le côté alors qu’une autre me forçait à écarter les jambes.

J’ai entendu l’un des hommes dire :

– Ouvre tes jambes salope! Je veux ta chatte comme je l’ai eu hier, je veux te doigter.

Ils ont joué avec mon corps. Il régnait dans l’air une tension sexuelle qui m’excitait.

Ils s’amusaient avec moi pendant que leur chef te regardait partir. Puis celui-ci nous a rejoint et a souri en me voyant impuissante, tenue par deux de ses ouvriers. J’étais presque nue et ça l’amusait. Il m’a dit avec mépris :

– Ton mari est parti et toi tu es toujours là. Je vais m’amuser avec toi ou je devrais dire avec cette chatte juteuse au goût sucré.

Il s’est approché. Je n’avais plus tous mes esprits. Une bouche tétait mes seins maintenant exposés et des doigts pénétraient ma chatte. Mes jambes se sont écartées alors qu’une bouche aspirait mon clitoris.

J’ai entendu un homme me dire :

– Sais-tu chérie qu’il n’y a rien que j’aime plus que de doigter une femme pendant que je remplis sa bouche de mon sperme. Une bonne femme au foyer se déshabille, se met nue et disponible, voilà ce qu’est une gentille femme.

*****

Ma femme déglutit difficilement, sa voix montrant son énervement.

*****

Sais-tu combien de fois j’ai été baisée sur notre lit par trois hommes en même temps, leurs queues me pilonnant sans cesse et me faisant jouir encore et encore? Je ne pouvais pas m’en empêcher, mais dois-je être forcée à admettre que j’aimais ça? Sais-tu à quel point c’est douloureux de se faire tirer la tête en arrière par les cheveux par l’homme qui te baise par-derrière? Et te faire tirer la tête en avant par celui qui remplit ta bouche avec son foutre? Et avoir à sucer et nettoyer une bite juste après qu’elle ait été dans ton cul et qu’elle ait giclé.

J’ai avalé tant de sperme ce jour-là que je n’ai pas eu besoin de déjeuner. Ils m’ont gardé nue toute la journée. Je n’avais pas d’échappatoire. Ils me suivaient partout et baisaient n’importe lequel de mes trous dans n’importe quelle pièce où ils décidaient de m’avoir.

Oh oui tu m’as téléphoné. Je ne voulais pas répondre, mais ils m’y ont obligée. Tu m’as dit que tu étais désolé de ne pas m’avoir emmenée. Tu as remarqué quelque chose dans la façon dont je t’ai répondu. Je t’ai donné l’excuse d’être à court de souffle après avoir couru au téléphone. Effectivement je respirais fort.

J’étais complètement nue à part les bas, penchée sur le téléphone , un homme pompant sa queue dans et hors de mon cul. Un autre homme se tenait devant moi en me regardant fixement te parler, une main tripotant mes seins alors qu’il se masturbait avec l’autre.

Le vieux contremaître me regardait me faire enculer et il m’envoyait des baisers tout en en faisant le bruit avec sa bouche. Il savait que lorsque je raccrocherais, son copain attraperait ma tête, me plierait plus bas sur le bureau et collerait sa bite bien dure au fond de ma gorge. Il voulait me baiser la gorge. En fait ils faisaient la queue pour me baiser.

Sais-tu à quel point c’est humiliant de devoir lécher une bite avec ta langue ou des couilles, pendant que tu rebondis sur la bite d’un autre homme et qu’ils savent que malgré tout tu aimes ça?

Le soir j’avais mal à la bouche, mais tu ne l’as pas remarqué, le lendemain non plus d’ailleurs.

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Le Prince de Chair Ch. 04

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Non Nude

La Duchesse Caeda tirait sur les boucles du pantalon d’Arlor. Le frottement du cuir contre le sexe du prince devenait si douloureux qu’il ordonna à la belle d’écourter l’effeuillage. Une activité qu’il affectionnait pourtant tout particulièrement. Lorsque sa verge tendue se dévoila enfin, même le froid du petit salon ne put en atténuer la fournaise.

Caeda rougit à la vue de ce spectacle. Une réaction qui excita encore plus le prince. Certes, les Dieux l’avaient correctement doté, mais son sexe n’affichait pas l’extravagance de certains esclaves des plaisirs. Cela voulait dire que la Duchesse n’avait probablement jamais vu d’érection, et encore moins d’aussi près.

— Prenez-le dans vos mains , susurra-t-il.

Timidement, dame Caeda plaça ses paume contre le pénis, l’une au-dessus de l’autre afin d’en saisir toute la longueur.

— Maintenant, effectuez de lents va-et-vient. (Un gémissement s’extirpa des lèvres d’Arlor lorsque la belle s’exécuta.) Voilà. Comme ça.

Les mains de la Duchesse glissaient le long de son membre avec la délicatesse qu’une joueuse de harpe. Ses caresses firent reculer la fine peau du prépuce, dévoilant le gland sensible qui tressaillait à chaque passage des paumes fraiches de la jeune noble.

Caeda, ainsi absorbée à sa tâche, les mains posées sur le sexe dressé telle une prière obscène, ressemblait à une statue d’un temple de la Déesse des plaisirs. En beaucoup moins glaciale.

La Duchesse remarqua le regard appréciateur du prince. Elle s’en détourna, le rouge aux joues et le noir aux yeux. Cette pudeur enflamma un peu plus le désir d’Arlor.

De par le faible espace entre les cuisses du prince, la Duchesse se tenait les bras serrés le long du corps. Cela comprimait sa poitrine, amplifiait son gable déjà généreux et poussait ses tétons en avant comme une offrande. Une offrande que le prince ne pouvait refuser. Presque nonchalamment, il attrapa les pointes roses entre ses doigts. Ses gestes, tantôt doux, tantôt cruels, arrachèrent des gémissements à la belle qui avait compris la futilité de retenir sa voix. Chacun de ses cris cristallins s’accompagnait de tressaillements qu’elle communiquait aux mouvements lents de sa masturbation. Déclenchant à chaque fois de savoureuses vagues de plaisir.

— Faites glisser ma verge contre vos seins, murmura Arlor.

La Duchesse insuffla autant de venin qu’elle le pouvait dans son regard, pour le plus grand délice d’Arlor qui sentit son sexe palpiter encore plus fort entre les mains de fière jeune femme. Mais sa défiance se cantonna à ses yeux. Après une courte pause, elle s’exécuta. Rougissant toujours plus, elle frotta le membre prêt à exploser directement contre sa lourde poitrine, un sein après l’autre. Le prince tremblait de plaisir contenu à chaque fois que son gland touchait un des tétons dressés . Un plaisir qui s’amplifia lorsqu’il remarqua que la duchesse se mordait la lèvre inférieure, le souffle court, la peau de ses aréoles normalement claires soudain assombrit par l’excitation.

Un sourire fendit le visage d’Arlor. Ce traitement ne la laissait pas indifférente.

— Prenez mon pénis en bouche, dit le prince qui n’y tenait plus. Je veux voir vos sublimes lèvres se rendre utile.

La Duchesse écarquilla les yeux. Par réflexe, elle s’écarta.

— Ce… ce n’était pas ce qui était prévu dans le contrat. Vous… vous ne pouvez pas me pénétrer.

Arlor agrippa un sein à pleine main pour le presser à nouveau contre sa verge. Il adressa un sourire kahramanmaraş escort carnassier à la Duchesse. Voilà donc pourquoi elle avait accepté de signer le contrat sans guère en négocier les clauses. L’ingénue s’était imaginé que, s’il ne pouvait porter atteinte à sa virginité, leurs jeux s’arrêteraient à de banales caresses.

Il était grand temps de la détromper.

— Pourtant, les termes son clairs. Vous les avez lus. (Le prince pointa de sa main libre le bloc de marbre sur la table basse.) Il y est stipulé « Le prince Arlor ne mettra pas la main sur la pureté de la Duchesse Caeda ». Or, à moins de me fourvoyer, votre bouche n’est pas le siège de votre virginité.

Les yeux de braise de la duchesse s’écarquillèrent avant de fixer le sol, ne dissimulant rien de ses délibérations intérieures. Le prince les imaginait sans peine. Que risquait-elle si elle refusait? Les dettes de sa famille seraient toujours là. Et puis, quitte à avoir été dévorée sans ménagement du regard et touchée par des mains qu’elle haïssait, était-il raisonnable d’abandonner maintenant?

— Les plaisirs de la chair ne se résument pas à ce qui se trouve entre vos cuisses, dit Arlor pour combler le silence. En donner avec la bouche est quelque chose de très répandu à la cour éternelle. Au vu des tenues que portent les dames de votre royaume et votre sacralisation de la virginité, j’aurai cru que les mœurs Aegyriennes vous y encourageaient. D’ailleurs, en parlant d’Aegyr, connaissez-vous Dame Ochidna?

Déboussolée par la question, la duchesse se contenta d’acquiescer.

— Bien sûr que vous la connaissez. C’est une de vos amies n’est-ce pas? Savez-vous que je l’ai choisie uniquement pour sa bouche? Elle à un corps agréable, il est vrai, mais c’est sa petite bouche en cœur et ses belles lèvres pleines qui lui ont valu les honneurs de mon attention. Chaque fois qu’elle me souriait, je voulais les écarteler de mon sexe. Aussi, après lui avoir arrangé un mariage avec un prétendant de grande lignée, c’est ce que j’ai fait. Régulièrement. Elle a un talent certain.

Le Prince observa la Duchesse à ses pieds, son pénis palpitant de plus en plus fort contre sa lourde poitrine. Elle gardait ses lèvres pincées, accentuant leur rougeur. Invitante.

— Elle ne vous en a jamais parlé?

Les muscles de la mâchoire de Caeda saillirent, mais elle se tut.

— Je suppose que non. Et bien que diriez-vous d’être initiée à cet art à votre tour? Peut-être même que, comme elle, vous y prendrez goût.

L’image de Dame Ochidna, ses lèvres pleines englobant son pénis, ses larmes traçant des sillons dans son fard, envahit un instant ses pensées. Il chassa l’agréable souvenir.

La Duchesse se mordit l’intérieur de la joue. Après une courte inspiration, elle baissa sa tête vers le sexe du prince, sa bouche légèrement entrouverte… et s’arrêta. Le souffle chaud contre les poils du pubis d’Arlor lui donna l’envie presque irrépressible de pénétrer ses lèvres. Là, tout de suite. Il disposait de la force nécessaire pour l’y obliger, s’il le souhaitait. Mais la jouissance de faire ployer uniquement par les mots le grisait bien plus. Aussi se retint-il.

— Cela n’a rien de compliqué, dit-il, incapable de détacher son regard des lèvres de la belle toute proche, trop proche. Vous pouvez commencer doucement, par l’extrémité.

Un frisson parcourut le corps de la Duchesse.

— Dois-je considérer votre refus implicite comme une annulation kastamonu escort des termes de notre contrat?

La belle capitula enfin. Elle glissa l’extrémité du sexe du prince entre ses lèvres, comme pour boire au goulot d’une amphore de nectar. Surpris par la soudaine chaleur moite, Arlor failli exploser. Là. Tout de suite. Aidé par une lente inspiration, il retint le feu qui menaçait de déborder du chaudron de son désir. Seul un long gémissement lui échappa.

Par les dieux! Tout dans cette situation le faisait vibrer. La fière Duchesse à ses pieds, son sexe entre ses lèvres, son regard de feu n’osant le fixer, le rouge de ses joues… Il vivait pour ce genre d’instant. Ces moments de basculement ou fierté et arrogance s’effaçaient, balayés par la tempête de son pouvoir.

Cela dit, tout n’était pas parfait. La langue de Caeda s’acharnait à éviter l’intrusion dans sa bouche, et elle maintenait tant bien que mal ses lèvres écartées, comme pour ne pas les brûler sur le sexe ardent de désir. Arlor ne s’offusqua pas. Il voyait dans ce manque de volonté la marque d’une débutante dont la fellation était aussi étrangère que le bon goût chez un paysan. Elle pouvait apprendre.

— Utilisez votre langue, Duchesse. Et pressez vos lèvres contre mon sexe. Faites-les glisser comme le faisaient vos mains. Imaginez que je suis la plus délicieuse friandise des trois royaumes.

Les yeux mi-clos, Caeda rabattit une des mèches blondes échappées de sa coiffure derrière son oreille avant de s’appliquer à suivre les instructions. Sa langue dessina les contours du gland, en souligna la base, s’aventura au sommet de l’urètre. Le souffle d’Arlor s’accéléra. Oh. Par tous les Dieux et leurs catins! Elle apprenait vite. Dommage que ses progrès s’arrêtaient à la valse de sa langue. Elle refusait d’avaler son sexe, n’en explorant que l’extrémité.

Le prince, quelque peu frustré, empoigna l’arrière du crâne de la Duchesse. Surprise, la belle recula, laissant le pénis échapper à sa bouche. Elle fusilla Arlor du regard. Le filet de salive qui reliait ses lèvres à son gland ne fit que rendre son attitude défiante plus érotique.

— Je vais vous guider, dit-il. Pendant ce temps, contentez-vous de poursuivre ce que vous faisiez.

Caeda fronça le nez, mais reprit son ouvrage. Le prince, la tête de la duchesse calée entre ses mains, lui imposa un mouvement en direction de son bassin. Doucement. Lentement. La large base de son gland franchit les lèvres de la belle noble.

— Retirez vos mains, ordonna-t-il.

La Duchesse libéra la verge de son étreinte et posa ses paumes contre les accoudoirs, de part et d’autre du fauteuil. Elle tremblait légèrement, très consciente de ce qu’impliquait la disparition de cette barrière protectrice. Le Prince continua d’appuyer pour la forcer à poursuivre l’exploration de son large membre. À sa surprise, la belle prit les devants. Centimètre par centimètre, elle l’engloutit, s’arrêtant seulement à l’orée de sa gorge.

— Parfait, dit-il en la libérant de son étreinte.

La Duchesse releva délicatement la tête. Arlor sentit son sexe à la limite de s’extirper de la chaude caverne de sa bouche, avant d’y replonger de plus belle, glissant le long des lèvres bien serrées, sa douce langue comme guide. Il s’arqua sous l’intensité des pénétrations successives. Par les bourses d’Oldan, il en avait connu des plus habiles, mais peu qui y mettait autant de conviction. Une délicieuse surprise kayseri escort de plus.

Comme pour se rappeler à son attention, les lourds seins de la Duchessese frottèrent contre ses cuisses au rythme des vas et vient de la fellation. Arlor les attrapa à pleines mains, les pressa dans ses paumes. Leur chair voluptueuse déborda des barreaux de ses doigts. Il sentit, plus qu’il n’entendit, les gémissements de la Duchesse contre sa verge. Son plaisir déjà intense augmenta d’un cran.

En jouant avec l’extrémité de plus en plus sensible des tétons – les tirant pour amener Caeda vers lui, les libérant pour qu’elle se relève – le prince parvint à lui imposer un rythme de succion. Un rythme qu’il fit monter crescendo, tel le chef d’orchestre de son excitation qui enflait, enflait, enflait…

— Oh… oui… oui… Là. Parfait. (Arlor haletait de plus en plus fort.) Continuez. Continuez.

L’idée qu’il était en train d’utiliser cette femme fière et magnifique comme une vulgaire roturière suffit à faire basculer le prince au-delà du point de non-retour.

— Oh… par les Dieux. Ça vient. Avalez tout!

Le feu dans son scrotum devint insoutenable. Usant de toute sa volonté, il le retint un court instant pour en amplifier l’intensité. Une série de vagues pulsa alors, de la base jusqu’au sommet de son sexe, projetant les interminables filaments de son plaisir droit dans la gorge de la Duchesse.

Submergé par l’apothéose sensorielle, Arlor remarqua à peine que Caldea se retira alors que ses dernières giclées emplissaient sa bouche. Elle s’affaissa au sol. Toussa à plusieurs reprises. Sa respiration aussi rapide qu’au sortir d’une course poursuite.

— Satisfait? fini-t-elle par demander, ses lèvres et son menton luisant du sperme princier.

Le feu du défi illuminait à nouveau son regard, plus ardent que jamais.

Arlor sourit. Voilà donc pourquoi la belle avait mis tant de bonne volonté à le satisfaire. Elle croyait pouvoir en finir vite. Une erreur de plus.

— À votre avis? demanda-t-il.

Le prince sentit son sexe se dresser à nouveau, presque violemment. Il ne regrettait aucunement d’avoir écouté les conseils de l’alchimiste royal et dépensé une petite fortune en expéditions. Ce vieux bougre lui avait appris l’existence – et les effets – de la racine-électrique, une plante rare de Médonie. Mélangée à de l’alcool, elle rendait n’importe quel homme capable de jouir intensément et abondamment autant de fois qu’il le souhaitait, et ce, pendant plusieurs heures.

La première femme sur laquelle Arlor avait expérimenté cette merveille n’était nulle autre qu’une prêtresse de la pureté. Il l’avait souillée bien au-delà de toute rédemption aux yeux de son ordre. Non pas qu’il se soucie de l’opinion de cette assemblée de pisses-froid.

Seul petit souci. Une fois les effets de la racine épuisés, le corps subissait un épuisement massif qui obligeait à rester alité plusieurs jours. Mais Arlor n’en avait cure. Il était prêt à tous les sacrifices pour profiter pleinement de la Duchesse.

— Pensiez-vous vraiment que ce simple en-cas me suffirait, Duchesse? Vous me décevez. C’est tout un festin que j’attends.

Caeda, pantelante, voulut détourner le regard. Le prince l’en empêcha en saisissant son menton entre le pouce et le majeur avant de murmurer :

— D’autant plus que vous ne m’avez pas obéi à la lettre. (De l’index, il étala le sperme qui souillait le visage de la belle.) Vous avez laissé échapper de ma précieuse semence.

La Duchesse s’arracha à sa poigne.

— Votre feu est toujours aussi intense, c’est admirable, dit Arlor. Mais, bien que je sois un professeur magnanime et que vous débutiez dans cet exercice, je ne peux laisser passer votre désobéissance. Je vais devoir vous corriger. À ma façon.

(Suite au chapitre 5)

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Le Billard

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Big Tits

Valérie et moi, nous nous sommes connus au lycée. On s’est perdu de vue pendant les années d’université. C’est elle qui m’a retrouvé sur un réseau social. Quand je l’ai revue, j’ai eu un choc. La laideronne maigrichonne s’était muée en une superbe jeune femme. L’affreuse chenille était devenue un splendide papillon. En plus, j’étais sidéré qu’une telle beauté s’intéresse à moi.

Nous nous sommes installés dans une relation plaisante, je n’osais pas me déclarer, par peur d’un refus, et c’est elle qui a fait le premier pas. Elle m’a parlé du souvenir qu’elle avait, d’un garçon qui était gentil avec elle, quand elle n’était qu’une sauvageonne. Tous les autres la rejetaient, se moquaient d’elle, elle n’avait eu qu’un seul ami, MOI.

Maintenant, c’est elle qui méprisait ceux qui l’avaient brimée. Et j’étais son seul ami. À ce moment-là, notre relation a évolué rapidement, on s’est mariés l’année suivante, et nous venons d’acheter un petit pavillon en banlieue, après 4 ans de vie commune. Bien sûr, tous mes copains m’ont prévenus, cette fille est beaucoup trop jolie pour toi, ne fais pas cette connerie, tu vas souffrir, elle va t’en faire baver …

Nous venions d’emménager dans notre petite maison, deux chambres à l’étage avec la salle de bain et un dressing, une grande pièce à vivre en bas avec un coin cuisine, et un bureau. Valérie m’a dit que cela pouvait être ma pièce, pour l’aménager comme je voulais.

J’adore le billard américain. J’en ai trouvé un d’occasion, et cette pièce est devenue une salle de billard, où je peux jouer avec mes potes quand ils viennent à la maison. En plus du billard, j’ai mis dans cette pièce un petit bar avec un frigo pour ranger les bières.

Valérie a un fort caractère, un peu dominante, qui s’accorde bien avec mon côté nonchalant et soumis. J’étais heureux qu’elle accepte de me laisser cette pièce pour recevoir mes potes. J’avais beaucoup d’amis, et bientôt ils appelaient tous pour jouer au billard. Valérie ne jouait pas, alors nous étions entre hommes.

Valérie est très belle, grande, avec la peau très claire, et elle s’habille sexy, parce qu’au travail les «mecs c’est des chiens, il faut les faire baver si tu veux obtenir quelque chose». Un matin, nous partions travailler, Valérie était en avance, quand je suis sorti la rejoindre, elle discutait avec un grand black. Lorsque je me suis approché, ils se sont tournés vers moi. L’homme s’est présenté, Cédric, nouveau voisin.

Il était proche de la quarantaine, et il était gigantesque, un véritable colosse. Nous nous sommes excusés, parce que nous devions partir travailler, et en chemin, Valérie m’a expliqué que Cédric l’avait abordée parce qu’il avait vu livrer le billard. Il prétendait être un excellent joueur, et Valérie l’avait invité un soir.

«Ce serait bien si tu avais un partenaire pour jouer au billard dans le quartier, tes copains ne peuvent venir que le week-end, avec Cédric tu pourrais jouer tous les soirs!»

J’ai dit : «Bonne idée!»

Le soir-même, Cédric s’est pointé, un pack de bières sous le bras. Nous avons discuté un moment tous les trois, puis nous sommes allés jouer, Cédric et moi, pendant que Valérie nous préparait le casse-croûte. Cédric était un bon joueur, je me défends, et nous étions presque égaux, c’était une partie agréable.

Valérie nous a apporté le casse-croûte, et elle est restée regarder quelques jeux. Cédric lui a demandé si elle voulait jouer, et elle lui a répondu que c’était inutile, qu’elle était nulle à ce jeu. Cédric a affirmé qu’elle avait juste besoin d’un bon professeur, et j’ai expliqué que j’avais essayé, mais que j’avais abandonné.

J’ai dit à Cédric : «Tu peux essayer de lui apprendre, mais avec moi, pas moyen!»,

Valérie a ajouté : «Ah, non, alors, avec Camille, pas question! Il me stresse, me rend nerveuse, je ne peux pas me détendre avec lui, je perds mes moyens!»

«OK, Valérie. demain, je te donnerai ta première leçon. Moins d’une dizaine de leçons, et tu sauras frapper correctement la bille, ou je ferai comme Camille, j’abandonnerai.»

Nous avons ri tous ensemble, et nous avons convenu de commencer le lendemain.

Le lendemain soir, nous avons joué au billard, Cédric et moi, pendant une petite heure, puis nous avons cassé la croûte tous les trois. Ensuite, Cédric a voulu donner son premier cours à Valérie. Je voulais m’installer dans un coin de la pièce pour les regarder travailler, mais Valérie m’a chassé :

«Pas question que tu restes ici à me regarder me ridiculiser. Tu vas te moquer de moi, et ça sera un massacre!»

Cédric a dit : «OK, première leçon d’une heure! Vas-y, Camille, je m’en occupe!»

J’ai eu un choc en entendant Valérie verrouiller la porte quand je suis sorti. Elle a dit que c’était pour être sûre de ne pas être dérangée par mes sarcasmes.

Je n’avais pas l’intention de me moquer d’elle, j’étais un peu dépité de m’être fait mettre à la porte de MA pièce, Cédric m’a demandé de les laisser une heure tranquille, j’ai dit OK, Valérie m’a mis dehors, j’ai dit OK! Devant hatay escort la télévision, je ressassais ma rancœur. Profitant de la pause publicitaire, je me suis faufilé dehors, j’ai rapidement fait le tour de la maison, pour m’embusquer derrière un buisson proche de la fenêtre.

Il faisait sombre, je pouvais voir dans la salle de billard sans être vu, je me suis approché et j’ai vu Valérie, penchée sur la table, aligner la queue pour frapper la bille. Elle l’a très bien frappée et la bille qu’elle visait a failli tomber dans la poche. J’ai entendu Cédric lui dire :

«Très bien, maintenant, remets-toi en position»

Il a replacé les billes là où elles étaient, elle s’est penchée pour recommencer le coup, Cédric est venu près d’elle, et il s’est penché aussi. Dans la même position, juste à côté d’elle, la frôlant, ils étaient vraiment très proches l’un de l’autre, mais il la dominait de toute sa haute stature. Elle avait l’air si petite et si fragile à côté de lui, il a enroulé son bras autour de sa taille, pour poser sa main sur sa hanche, et son autre main sur la main de Valérie qui tenait la queue,

Il lui parlait à voix basse, je n’ai pas tout compris, des bribes de phrase. J’ai cru entendre : «détends-toi, fixe ton attention sur la bille, bougeons ensemble, pousse la queue, conduis-la …»

Sa bouche près de son oreille, sans bouger ses mains, Cédric s’est déplacé légèrement, posant son pubis contre le cul cambré de Valérie. Le contraste de la couleur de peau était très évident, l’envergure du colosse planant au-dessus de ma petite femme, l’érotisme de la pause, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à la soumission de la femelle devant la puissance du mâle.

Juste en regardant Cédric et Valérie dans cette position, mon imagination a inventé un scénario rocambolesque, nourri par mes fantasmes, et j’ai dû m’enfuir, en proie à une érection surexcitée. Sans comprendre d’où me venaient ces idées tordues, je ne l’ai compris que plus tard, sur le moment la fuite a été ma seule réponse.

Assis dans le salon, rêvassant devant la télévision, je ne parvenais pas à calmer mon érection douloureuse. Je réfléchissais à tout ça, à cet homme noir planant au-dessus d’elle, à ses mains posées sur elle, à son ventre qui touchait son cul. Elle en était consciente, elle a forcément senti son membre appuyer contre sa fesse, et elle n’a pas bougé. Elle n’a rien dit, elle n’a rien fait pour l’empêcher, pour le repousser. Pourquoi?

J’ai pensé que ce serait sa première et dernière leçon. Oh! Combien j’avais tort! J’ai juste regardé le reste du programme, très excité. L’heure était écoulée, je suis allé toquer à la porte de ma salle de billard. Cédric m’a ouvert. J’ai pris un air détaché et un ton joyeux pour demander si tout s’était bien passé, et s’il était content de son élève.

Cédric a eut une phrase énigmatique, à double sens, vantant l’adresse de Valérie pour manier la queue et toucher les boules, ce qui a fait glousser ma femme, qui a ajouté «surtout les noires!» J’ai regardé Valérie, stupéfait, son regard était brillant et mystique, elle avait ce regard qu’elle a parfois après l’amour. Elle était si sexy à côté de Cédric!

Je lui ai demandé si cela lui avait plu, si elle voulait une autre leçon, elle a soupiré, regardé Cédric comme s’il était un preux chevalier du temps jadis, et elle a dit «Oh, oui!» Tournée vers Cédric, la main sur son bras, elle a dit :

«Merci, Cédric, pour cette belle leçon, à demain, il est temps d’aller nous coucher.»

J’ai trouvé étrange que ce soit elle qui raccompagne Cédric sur le pas de la porte, elle est sortie un moment en claquant la porte derrière elle, ils ont discuté, mais de quoi? J’étais monté me coucher, je l’attendais, et elle discutait dehors avec ce colosse noir qu’elle connaissait depuis deux jours seulement.

Je me suis aperçu que je ne connaissais pas Valérie. Qu’est-ce qui, chez ce black, l’a émoustillée à ce point. Elle est montée, toute joyeuse, elle m’a attrapé et m’a embrassé sur les lèvres en disant «viens au lit, chéri, je te veux». Sa main sur ma bite, instantanément raide, elle était surexcitée, je pensais à Cédric planant au-dessus d’elle, et j’étais excité moi aussi, on a fait l’amour comme des bêtes.

Taquin, quand elle s’est calmée, j’ai demandé si elle avait apprécié les cours de Cédric, elle s’est blottie dans mes bras et m’a juste dit : «Oh, oui, mon chéri!» Et nous nous sommes endormis …

Le lendemain soir, Cédric est venu et nous avons joué entre hommes pendant environ une heure. Je subissais, moi aussi, l’emprise du colosse. Il me dirigeait, me commandait, et je perdais mes moyens face à lui. Je me comportais comme un débutant, et je suivais scrupuleusement ses indications.

Valérie était en haut, Cédric m’a dit : «Va la chercher, je pense qu’il est temps de commencer son cours. Reviens dans une heure!»

J’ai répondu : «Oui, Cédric!» et je me suis précipité, quand soudain j’ai réalisé que je me comportais comme un soumis devant son dominant. ığdır escort Cédric parlait, j’obéissais, naturellement … Il me disait de lui envoyer ma femme et j’obéissais, Cédric avait pris le contrôle sur moi comme sur ma femme.

J’ai appelé Valérie, elle était dans la chambre … Je lui ai dit que Cédric la demandait, et j’ai eu le souffle coupé en la voyant. Elle avait revêtu un short blanc étroit, qui moulait ses fesses et sa chatte comme une seconde peau, à se demander si elle avait une culotte dessous. En haut, un bustier qui lui laissait le ventre et les reins à nu. Aux pieds, des mules à talon que je ne lui connaissais pas.

Elle avait l’air si sexy, presque salope, elle était maquillée comme pour sortir et, en passant devant moi, l’air était chargé des effluves de son parfum, je lui ai dit qu’elle était magnifique, très sexy, peut-être un peu trop?

Elle m’a dit : «Oui, c’est Cédric qui m’a dit de m’habiller comme ça, le billard est un sport sexy, l’apparence compte, il faut être en accord avec son environnement, cela permet de distraire, ou même de troubler l’adversaire. Si je veux avoir une chance de te battre, je dois mettre tous mes atouts dans ma manche. Et si j’arrive à te battre, j’aurais ma récompense, Cédric me l’a promis!»

«Oh oui, j’attends cela avec impatience. Te battre et sortir ensuite avec Cédric. Non, mon chéri, pas toi, juste moi et Cédric. Il me sortira. Il m’emmènera au bar de l’académie de billard. Oui, très sexy, je ferai sensation!»

«Maintenant, Camille va regarder la télé, pendant que je vais m’exercer une heure avec mon professeur. Et ne viens pas nous déranger avant la fin de l’heure. OK, Camille?»

«OK, Valérie. Je ne vous dérangerai pas, pas besoin de verrouiller la porte.»

«Je verrouillerai la porte si j’en ai envie!»

Valérie est entrée dans la pièce, rejoindre Cédric, et elle a verrouillé la porte. J’ai pensé qu’elle se fichait de moi. Je suis sorti subrepticement, et j’ai fait le tour de la maison en courant. Il ne faisait pas encore nuit, ils avaient tiré un peu le rideau, je ne voyais pas grand chose, mais la fenêtre étant ouverte, je les entendais discuter.

«Oui, Valérie, c’est bien, mais je veux voir tes seins plus sexy demain soir. Tes seins sont splendides, haut perchés et bien ronds, il faut les montrer lorsque tu te penches sur la table.»

«Oui, Cédric»

Cédric a posé ses mains sur les épaules de Valérie : «Bien, pour l’instant, ajustons-les un peu …»

Il a fait glisser le haut d’une épaule pour resserrer la bretelle en soulevant le sein avec la main, puis il a fait la même chose de l’autre côté. Je regardais avec étonnement la docilité de Valérie, qui se laissait tripoter les nichons.

Il a délaissé ses bretelles de soutien-gorge pour la contourner et se placer derrière elle, les mains sur la peau nue de ses hanches. Elle a penché sa tête sur le côté en tirant ses cheveux pour dégager son cou. Il s’est penché sur elle pour humer son parfum en déposant un baiser dans son cou. Elle a eu un petit rire de gorge énervé.

«Tu es merveilleusement belle et tu sens merveilleusement bon! Tu sais, chez moi, en Afrique, les gars sont francs et directs. Si tu as de beaux seins, ils te le diront. S’ils te caressent un peu, ça n’a pas de conséquences fâcheuses. Tu ne dois pas te vexer si mon admiration pour toi me conduit à ce qu’ici, on appelle “des gestes déplacés”. Nous, les africains, n’avons pas de “gestes déplacés”. Juste de l’affection et de l’admiration pour une belle femme. Une femme sensuelle et sexy comme toi, Valérie, ne dois pas être gênée par mes compliments, juste flattée et heureuse.»

Toujours debout derrière elle, il a remis son visage dans son cou pour en absorber l’arôme, en même temps ses lèvres déposaient une série de petits baisers dans son cou. Il s’est détaché d’elle à regret :

«Allez, bébé, c’est l’heure des cours. Ta leçon n°1, c’est ta tenue vestimentaire qui doit distraire ton adversaire. Quand je t’emmènerai à l’académie de billard, je te veux désirable et célibataire. Tu as un beau corps. Tu dois t’en servir. Je veux que les mecs soient distraits, Tu dois mettre une mini-jupe et un soutien-gorge pigeonnant. Quand tu seras à la table de billard, les gars ne doivent voir que tes fesses et tes seins, pas le jeu. OK, bébé?»

«Oui, Cédric»

«Demain soir, je voudrais que tu sois habillée comme pour sortir. Une mini-jupe la plus courte possible et un maximum de seins visible. Et tu vas battre Camille. Et je te sortirai. OK, bébé?»

«Oui, Cédric»

«Valérie, tu as verrouillé la porte, mais pourquoi?»

«Oh, c’est Camille qui me l’a suggéré, pour que je puisse être plus détendue!»

«Eh bien, oui, c’est une bonne idée, nous sommes parfaitement détendus en privé.»

En les écoutant, j’avais une érection dure comme du bois. Je suis retourné devant ma télé, j’ai résisté à l’envie de me masturber, et ça a fini par se calmer. Je suis un contemplatif, un rêveur. Je pourrais facilement être un voyeur. Ça ne me dérangeait ısparta escort pas beaucoup qu’elle se laisse tripoter par ce grand noir. Je ne comprenais pas pourquoi, mais au fond de moi, confusément, cela me plaisait. Pendant la pause publicitaire, je suis retourné voir l’avancement des cours.

Penché sur elle, son ventre frôlant son cul, il lui disait :

«Maintenant, ferme tes jolis yeux et sens la queue glisser doucement entre tes mains, sois douce, aime-la, sens comme elle est dure. Tu le sens?»

«Oui, Cédric»

«Bien, tu dois traiter cette queue avec amour, et tu seras une grande joueuse. Si tu fais l’amour à cette queue, tu battras Camille.»

Il s’est redressé, et j’ai pu voir qu’il bandait. Son renflement parfaitement visible devait s’appuyer contre elle, elle l’a senti sur ses fesses, et elle l’a accepté, elle était si jeune et si naïve.

Il a repositionné la bille blanche, et il lui a demandé de faire glisser doucement la queue dans sa main en poussant la bille vers l’objectif. Viser le trou, il n’y a que ça qui compte. Tout le temps, il a gardé sa main sur ses reins nus.

En bougeant sa main doucement, elle a frappé la bille, qui a heurté l’autre bille, qui est tombée dans le trou. Elle a sauté en l’air, de joie et d’excitation, et elle s’est jetée dans ses bras. Cédric l’a félicitée, en l’enlaçant tendrement, elle n’a rien fait pour s’opposer, pour s’échapper. Il a dû prendre comme une déclaration le fait qu’elle lève son visage vers le sien, il s’est penché sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle n’a pas protesté, elle lui a rendu son baiser.

Il l’a embrassé profondément, longtemps, avec les mains sur son cul :

«Voilà, ma fille, tu es une bonne élève, et tu deviendras une grande joueuse. Excuse-moi de t’avoir embrassée, tu es tellement belle, je n’ai pas pu résister. Est-ce la première fois que tu embrasses un africain?»

«Oui, Cédric» elle baissait les yeux, rougissante et troublée, sans chercher à s’éloigner de l’emprise de ses mains baladeuses.

«Dis-moi, bébé, tu n’as jamais fait l’amour avec un africain?»

«Oh, non, Cédric. Jamais!»

«Tu vas apprécier, chérie, c’est tellement différent. Avant de continuer la leçon, Valérie chérie, j’aimerais te demander?»

«Oui, Cédric?»

Valérie restait blottie dans les bras de Cédric penché sur elle, il chuchotait presque, je n’ai pas bien compris. Il lui parlait de moi, que j’étais très efféminé, est-ce que je me travesti, me maquille parfois, il a la peau si douce, ne crois-tu pas, a-t-il de la lingerie, peut-être devrais-tu le tester, peut-être il aimerait?

«J’ai souvent pensé que Camille avait un côté très féminin, peut-être que tu as raison, je devrais le tester, savoir s’il aimerait porter de la lingerie. J’ai un couple d’amis, mariés, elle a fait de son mari un cocu soumis, et ils s’amusent beaucoup, car il s’est avéré que son mari aimait la lingerie. Camille est comme ça, parfois, il y a en lui quelque chose d’efféminé.»

OK, je n’étais pas sûr de ce qu’avait pu dire Cédric, mais j’avais bien compris la réponse de Valérie.

«Bon, passons à la leçon si tu veux la battre.»

«Cédric, tu as dit de LA battre?»

«Oh, désolé! Camille est tellement efféminé, je pense à lui comme à une fille!»

Je suis rentré dans la maison avec une énorme érection, déconcerté par ce que je venais de voir. Ils se sont embrassés, et je ne pouvais rien y faire ou dire, sans quoi je devrais reconnaître que je les espionnais.

L’heure terminée, j’ai toqué à la porte. Frapper pour rentrer chez moi, dans la pièce qui m’était réservée, quelle honte.

«Juste une seconde, Camille!» J’ai entendu un remue-ménage, puis :

«Ouais, c’est bon, tu peux entrer maintenant, Camille!»

Ils se tenaient côte à côte de l’autre côté de la table, elle avait l’air émoustillée et posait sur Cédric un regard alangui. Elle était tellement sexy, était-elle amoureuse, mouillée, excitée?

«Bon, alors, tout se passe bien? T’es content de ton élève, Cédric?»

«Super! Je te l’ai déjà dit, mais Valérie est vraiment bonne pour manier la queue!»

«J’apprécie beaucoup les exercices que Cédric me propose. Ses instructions me stimulent, et je vais parvenir à te battre un de ces jours. Ma récompense sera une sortie à l’académie de billard, accompagnée de Cédric.»

«Quand Valérie te battra, ce qui ne saurais tarder, n’est-ce pas Camille, j’espère que tu te sentiras honoré quand elle m’accompagnera à l’académie de billard. Je souhaite que tu aides Valérie à s’habiller sexy pour ce rendez-vous, tu veux qu’elle soit fière et heureuse, n’est-ce pas, Cédric? Je lui ai déjà inculqué les bases d’une tenue sexy pour cette nuit-là, il faut qu’elle soit irrésistible pour distraire ses adversaires.»

Cédric a donc prit congé en disant à Valérie d’essayer de réaliser ce dont ils avaient parlé. Promis?

«Oui, Cédric, promis, je le ferai» Je me demandais de quoi ils parlaient.

Valérie m’a entraîné directement à l’étage, elle a sauté dans le lit en me disant de la déshabiller, qu’elle avait hâte.

Je l’ai aidé à enlever son top et son soutien-gorge, ses mamelons pleins de vie se balançaient, ses tétons érigés me tentaient, mais elle me pressait, je lui ai enlevé son short, j’ai touché sa chatte à travers sa culotte.

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La Descente aux Enfers de Jessie 16

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Athletic

Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse’s Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site de m’avoir autorisé à le traduire.

Dans sa version originale, cette histoire était illustrée, Malheureusement Sadkins116 vient de supprimer sa page sur Literotica. Il m’a affirmé avoir envoyé toutes ses histoires à Rebeccasm qui les republiera peut-être. Si j’arrive à récupérer les illustrations, je les joindrais au texte lors de la publication sur mon blog.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l’avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l’esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

************

Finalement Christy renonce à dormir. Il est cinq heures du matin et la ceinture de chasteté la rend folle. Elle est totalement excitée et elle a besoin de jouir. Elle se lève, débranche la ceinture du boîtier de commande et se dirige vers la salle de bain. Elle s’assoit sur les toilettes. Elle voudrait se soulager, mais elle se rappelle que Maître Kévin leur a dit qu’elles ne pouvaient utiliser les toilettes que sur autorisation. Et elle ne l’a pas pour le moment. Elle reste assise à penser à tout ce qui s’est passé.

Hier a été le jour le plus bizarre de sa vie? Elle a commencé par se déshabiller et se mettre complètement nue sur le parking de l’université, puis elle est entrée à quatre patte dans le bureau de sa mère. Et là elle a vu sa mère se déshabiller et se soumettre à Maître Kévin. Maintenant elles sont comme deux sœurs esclaves appartenant à Kévin.

Elle sait qu’elle devrait ressentir quelque chose comme la peur, l’indignation ou le refus. Mais au contraire elle est constamment excitée. C’est comme si son Maître était dans sa tête avec tous les fantasmes pervers qu’elle n’aurait jamais imaginés dans sa vie. Elle sait que son Maître exigera que sa mère et elle aient des relations sexuelles, des relations incestueuses de toutes les manières possibles. Maintenant, à chaque fois qu’elle regarde sa mère, son corps tremble d’envie. L’esprit de Christy est surchargé par tout ce qui s’est passé et par tout ce qui peut arriver. Soudain elle entend un gémissement.

– Oh mon Dieu maman, je t’ai oublié! Hurle Christy en se levant d’un bond.

Elle retourne dans la chambre rapidement et détache les poignets de sa mère. Puis elle l’aide à se relever. Christy entend Janice gémir alors qu’elle essaie de bouger son corps.

Elle a été attachée toute la nuit et son corps n’a pas l’habitude de rester dans cette position pendant si longtemps. Elle a perdu depuis un bon moment toute sensibilité dans les extrémités des membres. Elle avait entendu Christy se lever , mais elle n’avait pas vu où elle allait. Ce n’est que lorsqu’elle avait gémi que sa fille s’était précipitée pour la libérer.

Christy masse les jambes de sa mère pour faire circuler le sang. Bientôt elle l’aide à aller à la salle de bain en lui rappelant de ne pas utiliser les toilettes. Il est six heures moins le quart quand elles descendent nues au bureau et s’agenouillent sur le sol. Elles ne savent pas quoi faire d’autre, elles savent juste qu’elles doivent être devant l’ordinateur à six heures.

A l’heure dite, le visage de Kévin apparaît à l’écran.

– Bonjour esclaves! Je pense que vous avez bien dormi. Je l’espère parce que ça va être comme ça pendant un bon moment. Glousse le garçon.

– Bonjour Maître! Disent les esclaves à l’unisson.

– Voilà, comme je vous l’ai dit hier soir, un entrepreneur va arriver à huit heures. L’une d’entre vous restera à la maison et s’occupera de lui et ses ouvriers. Donc maintenant il faut que je sache qui reste?

Janice regarde sa fille et lève la main. Elle ne se fait aucune illusion sur ce qui va se passer. Mais elle ne va pas laisser sa fille souffrir de l’indignité de « servir » les ouvriers.

Kévin sourit. Il savait que Janice se porterait volontaire. Il sait également qu’elle risque d’échouer.

– Très bien esclave. Tu ne refuseras aucune demande et tu feras tout avec le sourire. Sinon Christy verra son code activé et tu sais ce que ça signifie. Maintenant ta fille va s’habiller pour l’université et toi tu vas te doucher et te préparer pour les arrivants.

Les deux esclaves ne bougent pas, attendant que Kévin ajoute des instructions. Le garçon sait ce qu’elles veulent. Il veut juste voir si l’une va parler et enfreindre une règle. Après un long silence il reprend la parole.

– Bon esclaves, je vois que vous voulez quelque chose alors dites-le.

Les deux femmes commencent toutes les deux à parler en même temps. Finalement Janice dit :

– Maître, pouvons-nous nous soulager? Et comment retirer la ceinture de chasteté de Christy.

Puis elle ajoute rapidement :

– Oh, que devons-nous porter et que pouvons-nous manger?

– Bon , vous avez toutes les deux eskişehir escort quinze minutes pour vous soulager. Christy, la clé de la ceinture se trouve à côté de l’ordinateur. Tu peux l’utiliser. Janice, tu vas prendre la même tenue que tu avais hier soir après être entrée. Je suis sûr que les ouvriers vont adorer. Christy, tu prends une jupe écossaise très courte avec le haut licou rose, des chaussettes et ton collier d’esclave. Votre nourriture est dans deux bols au réfrigérateur, un pour chacune. Le bol de Christy est rose, celui de Janice bleu. Ça sera vos bols pour tous vos repas à la maison. Sortez-les et posez-les par terre. Vous mangerez comme des chiennes que vous êtes maintenant. Vous n’avez pas le droit d’utiliser vos mains. Sur le comptoir se trouve un seau d’eau. Vous allez le remplir à moitié. Ce sera votre source d’eau potable. Quand il sera vide, vous boirez l’eau des toilettes jusqu’à ce que vous ayez la permission de le remplir. Avez-vous des questions esclaves?

Janice et Christy secouent la tête. Elles montent à l’étage pour se préparer pour la journée. Dès qu’elles sont dans la salle de bain, Janice ferme la porte et se tourne vers Christy pour lui chuchoter :

– Christy, je ne pouvais pas te laisser rester à la maison aujourd’hui. Je m’occuperai des ouvriers. Comment Kévin t’a-t-il piégée?

Christy est effrayée de voir sa mère parler. Elle a appris depuis longtemps à ne pas désobéir à Kévin.

– Chut, nous ne pouvons pas parler sans permission.

– Attends, il n’a pas encore mis la maison sur écoute. C’est sûrement notre seule chance de nous parler avant longtemps. Supplie Janice.

Sa fille regarde autour d’elle comme si elle s’attend à ce que Kévin apparaisse de nulle part. Finalement elle prend une profonde inspiration et dit doucement :

– C’était à l’université. Ça a commencé lentement. Il m’a d’abord poussé à avoir des relations sexuelles avec lui. Il a une bite incroyable et je suis sûre que tu le découvriras assez tôt. Avant que je réalise, il me disait ce que je devais porter et je le suçais à l’école. A la fin de notre dernière année, j’allais chez lui pour me changer. Je ne portais que ce qu’il voulait. A ce moment-là je n’étais autorisée qu’à porter des jupes courtes et des hauts étriqués sans sous-vêtements. Quand les professeurs se sont plaints de ma tenue, il a réussi à les empêcher de me faire renvoyer. Quand le printemps est arrivé, il me prêtait à ses amis proches, j’étais son jouet. Ça a pris fin le jour où je me suis retrouvée nue sur le dos sur une table de pique-nique. Je crois que j’ai été baisée et que j’ai sucé toute notre classe ce soir-là, y compris les filles. Je ne peux pas lui résister maman. Quand il appelle, je ne peux pas dire non. Quand il est parti dans une autre université pour continuer ses études, j’ai que j’étais enfin libre. Mais il y a une semaine, il m’a appelée et tous mes besoins sont revenus. Je suis désolé maman, mais il est mon Maître et je le servirai. Il me possède maintenant.

La voix de Christy vacille et des larmes coulent sur ses joues. Janice regarde sa fille en réalisant que malgré tout ce qu’elle pourrait faire, sa fille est perdue pour elle. Elle se penche et lui fait un câlin.

– Je trouverai un moyen de nous sortir de tout ça. Même si nous devons disparaître à l’autre bout du monde, je nous sortirai de là.

Ce que Janice et Christy ne savent pas, c’est que la salle de bain est la première à avoir été mise sur écoute. Il avait prévu que si elles discutaient ce serait là. Kévin sourit, il a tout entendu.

Christy s’habille comme ordonné et sort de la maison avant huit heures. Janice l’a carrément mise dehors, elle ne veut pas qu’elle voie ce qui allait se passer. Elle ferme la porte et s’appuie contre elle. Son cœur bar à cent à l’heure. Elle n’a aucune idée de ce qui va arriver, mais son imagination se déchaîne.

Lorsque la sonnette retentit, elle sursaute sur place. Janice prend une profonde inspiration et ouvre lentement la porte. Ses yeux s’agrandissent quand elle voit trois hommes debout qui cachent le soleil. Le premier ressemble à un géant orange. Il doit mesurer plus de 1m85 et peser 150 kilos. Son gilet de sécurité orange peine à faire le tour de sa circonférence. Janice regarde son visage qui passe de la surprise au sourire tandis que les yeux parcourent son corps presque nu.

Janice frissonne puis voit les deux autres hommes avec lui. Le plus petit à sa droite et le noir à sa gauche se déplacent rapidement sur ses côtés, si bien que Janice se sent piégée debout dans l’embrasure de la porte.

Elle ne sait pas quoi faire. Les hommes avaient presque l’air de s’attendre à ce qu’elle soit là et nue. Ils la dépassent et entrent dans le hall. Janice se met au milieu de la pièce tandis que les hommes s’éloignent, chacun dans une direction différente en parlant dans leur talkie-walkie. Elle ne se réveille de ses pensées que quand l’homme montagne s’approche et la pousse avec son énorme doigt.

– Hé ma petite dame, comment gaziantep escort tu t’appelles? Je suis John, le petit gars c’est Wayne et Malcom est à l’étage. Il est noir si tu ne l’avais pas remarqué. Oh, et les rumeurs sur les noirs et les grosses bites sont vraies. Dit John en riant.

– Euhhh… Euhhh… Je m’appelle Janice. Balbutie-t-elle.

– Eh bien Janice, pourquoi ne pas aller à la cuisine et nous préparer à manger. Nous déjeunons à midi, mais j’ai faim maintenant. Alors ne perds pas de temps. Ah et puis apporte-nous à boire, whisky. Beugle John.

Janice se précipite dans sa cuisine et verse trois verres de boissons. Elle les met sur un plateau et rejoint John et Wayne qui parlent ensemble. Alors qu’elle tient le plateau pour qu’ils se servent, Wayne essaie d’enlever son haut.

Janice essaie de le repousser, mais quand John attrape le plateau, elle est distraite et Wayne tire son haut par-dessus sa tête. Elle n’a plus que sa culotte et ses chaussures. Elle est déboussolée alors que Wayne la tourne et la ramène contre sa poitrine. Puis il tend la main et attrape ses seins.

Janice a le souffle court tandis que les mains sur ses seins pincent ses mamelons. Elle ouvre les yeux et voit l’homme massif la regarder comme s’il voulait l’avaler tout rond.

John regarde Wayne tirer le haut de Janice au-dessus de sa tête. Ses seins sont magnifiques. Comme son collègue la tient, il se précipite en avant. Le problème est qu’il ne sait pas modérer sa puissance. Dans sa hâte il déséquilibre Wayne. Janice a le souffle coupé quand John la pousse, mais elle réalise rapidement qu’il y a une ouverture dans laquelle elle se précipite. Elle n’a aucune idée de l’endroit où elle court, mais son objectif est de s’éloigner des hommes. Elle ne réfléchit pas à la conséquence de sa désobéissance et du non-respect d’une règle.

Janice court dans le couloir et dans le salon. Elle se tourne pour se diriger vers la porte d’entrée quand Wayne la rattrape. Il la saisit et la pousse au sol. Malcom arrive dans la pièce, il avait entendu l’agitation et était descendu en courant. Janice le voit et abandonne toute résistance. Elle s’agenouille et met ses mains derrière son dos. Sa panique initiale a disparu et elle se souvient de ses instructions. Wayne et John la dominent de leur stature. Ils exigent qu’elle leur donne sa culotte. Sachant qu’elle ne peut l’éviter, elle retire sa culotte et lève la main pour leur donner. Wayne sourit et dit :

– C’est bien salope! Je n’aurais pas aimé rapporter que tu n’étais pas coopérative.

Les trois hommes entourent Janice et discutent de ce qu’ils veulent faire. Malcom veut la baiser de suite. Wayne veut la punir pour sa fuite. Et John veut une fellation. Finalement ils décident que Wayne lui donnera une fessée et qu’elle repartira ensuite préparer le déjeuner pendant qu’ils se remettront au travail. Au déjeuner, ils pourront l’utiliser comme ils veulent et quand le travail sera fini. Janice, à genoux, prie pour que tout soit bientôt fini.

Wayne l’attrape par le bras et la remet sur ses pieds. Il lui ordonne :

– Penche-toi salope et mets tes mains sur tes genoux!

Janice obéit. Wayne recule sa main et lui donne une grosse claque sur le cul. Janice glapit de douleur mais reste dans sa position? Bientôt l’homme lui martèle le cul de sa main sur un bon rythme. Malcom et John aiment chaque seconde du spectacle et crient des obscénités alors que Janice se met à pleurer de façon incontrôlée.

Wayne continue de fesser la femme encore et encore. Lorsque finalement il arrête la punition, Janice n’a plus aucune résistance. Elle ne se rend compte que c’est fini que lorsque les hommes s’éloignent.

Elle retourne à la cuisine et prépare des sandwichs et boissons. Quand elle a fini, les hommes lui disent d’attendre à la cuisine qu’ils soient prêts à manger. Il se passe trois heures avant que les ouvriers entrent dans la cuisine. Janice se lève et attend qu’ils s’assoient avant de leur servir le repas. Elle comprend qu’ils ont voulu terminer le câblage de la maison pour les flux vidéo et audio avant de manger. De cette façon, quand ils auront fini de déjeuner, ils auront beaucoup de temps pour jouer avec Janice.

Lorsque John a finalement terminé son troisième sandwich, il rote bruyamment. Il frappe le cul de Janice et lui dit d’aller au salon et d’attendre à genoux. La femme quitte lentement la pièce et tombe à genoux au milieu du salon. Son corps tremble et elle a peur. Lorsque les trois hommes entrent dans le salon, ils ont déjà retiré leur pantalon et ils caressent leur bite. John est le premier à parler :

– Bien salope, ouvre la bouche et avale ma bite. J’attends ça depuis le début de la journée.

Janice fait ce qui lui est ordonné et regarde les trois hommes. En dehors de Jessie, elle n’a pas baisé depuis plusieurs moi, et n’a pas eu d’homme depuis très longtemps. De plus, elle n’a baisé que cinq hommes dans toute sa vie. Et aujourd’hui elle va être baisée par trois hommes en un giresun escort seul après-midi. Le seul point positif est que ce n’est pas Christy à sa place.

Ce n’est que quelques minutes après que John a poussé sa bite dans la gorge de Janice que les deux autres hommes se joignent au couple. Janice est poussée à quatre pattes et Wayne se laisse tomber derrière elle et enfonce sa bite au fond de sa chatte. Janice n’a jamais eu deux hommes à la fois dans sa vie. John et Wayne pilonnent sa bouche et sa chatte en rythme. Janice est contente que son corps réagisse et lubrifie sa chatte.

Mais Janice déteste chaque coup de rein qu’elle reçoit. La dernière chose qu’elle veut c’est d’en profiter. Mais son corps réagit et son excitation augmente rapidement. Au moment où Wayne décharge son foutre profondément dans sa chatte, un orgasme explose dans son corps.

Malcom ne lui laisse pas la chance de récupérer, son corps tremblant sous l’effet de l’orgasme qui commence à disparaître. Le noir enfouit sa bite dans le vagin de Janice. Les yeux de celle-ci s’écarquillent tandis que la grosse queue bute contre son col. Malcom recule lentement et pousse de nouveau en avant. Chaque coup est long et lent. Janice halète alors que son corps toujours sous le plaisir orgasmique apprécie chaque coup de rein. Le black maintient le rythme, long et lent jusqu’à ce que Janice commence à bouger les hanches pour essayer de prendre la queue plus profondément en elle.

Lorsque Wayne pousse son sexe dans le fond de la bouche de Janice, il fait un signe de tête à son collègue et les deux hommes éjaculent ensemble dans le corps de la femme.

Encore et encore, les trois hommes baisent Janice. C’est tout d’abord deux à la fois. Puis Malcom s’assoit sur une chaise et Wayne aide la femme à baisser son cul sur la longue queue. Janice se retient de respirer en essayant de soulager sa douleur et de prendre l’énorme bite dans son passage anal. Elle ferme les yeux et essaie de ne plus penser à rien. Mais John s’approche et pousse sa bite dans sa chatte dégoulinante. Elle crie alors que les deux queues massives la remplissent complètement. Alors qu’elle secoue sa tête d’un côté à l’autre, Wayne attrape son menton et enfonce son membre dans sa gorge. Tous les trous de Janice sont maintenant occupés.

Pendant les deux heures qui suivent, le corps de Janice est pilonné sans cesse alors que du sperme inonde son corps à l’intérieur et à l’extérieur. Quand finalement les ouvriers partent, Janice est assise à côté de la porte d’entrée dans un état semi-comateux.

Elle n’a toujours pas bougé une heure plus tard quand Christy revient de l’école. Quand la jeune fille ouvre la porte et entre, la première chose qu’elle voit c’est sa mère, nue et couverte de sperme, assise dans une flaque de fluides et fixant le sol.

Christy est choqué par le spectacle. Elle s’agenouille à côté d’elle et lui fait un câlin. Peu importe si elle se salit, elle veut juste prendre soin de sa mère.

– Je suis vraiment désolé maman. Laisse-moi t’aider et te nettoyer. Chuchote Christy.

Soudain une voix venue de nulle part retentit :

– QUI VOUS A AUTORISE A PARLER ESCLAVES?

La voix est si forte que les deux femmes sursautent.

– Je suis désolé Maître. Je voulais juste m’occuper de maman. Explique Christy.

– TU NE DOIS PAS PARLER AVANT D’AVOIR ÉTÉ AUTORISE! MAINTENANT LAISSE LA TELLE QU’ELLE EST, ELLE A BESOIN D’ÊTRE HABITUÉE AU SPERME. Continue la voix.

– Oui Maître! Répond Christy en tendant la main pour aider Janice à se lever.

Ne sachant pas trop que faire, elle lève la main comme à l’école pour demander la permission de parler.

– Oui esclave, qu’est-ce que tu veux?

– Puis-je la mettre au lit? Elle a besoin de repos. Demande Christy.

– Pas de problème. Mais c’est soit la ceinture de chasteté, soit par terre, attachée. Répond la voix.

Christy hoche la tête et tire sa mère comateuse sur ses pieds et la porte à l’étage dans la chambre à coucher. Elle décide que sa mère a été suffisamment baisée. Elle la pose doucement sur le sol. Janice ne résiste pas et se retrouve rapidement attachée au pied du lit, un bâillon dans la bouche.

****

Julie est de retour à l’université et doit essayer de trouver des finances pour le prochain trimestre. Elle a de quoi payer ses cours, mais pas assez pour sa chambre et sa nourriture. Elle prend son emploi du temps, sort du bâtiment administratif et traverse le campus. Ses ordres sont de se présenter au studio photo dès qu’elle a fini de s’inscrire pour le trimestre. Son esprit est embrouillé. Elle s’arrête près de son ancienne chambre en priant pour que ses affaires soient toujours là, mais l’école a repris les lieux et toutes ses affaires sont parties. Une larme coule sur sa joue alors qu’elle retourne à sa voiture. Il ne lui reste plus que les vêtements qu’elle a ramené de la maison ce week-end.

Finalement, à contrecœur, elle se rend lentement au studio photo. Avec un peu de chance, son Maître lui fournira un lieu pour rester.

Julie se gare sur le parking à côté du studio. Elle reste assise dans sa voiture pendant près de cinq minutes en essayant de trouver un moyen de sortir de sa situation difficile. Mais, sans beaucoup de vêtements et très peu d’argent, elle capitule et entre dans le studio pour retrouver son esclavage.

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Jonas : Jeune inventeur de dix-huit ans. Il a inventé une nouvelle pilule dix fois plus efficace que le petit médicament bleu qui aide à bander. Il a également inventé un petit appareil, qui met les gens en transe, comme sous hypnose, lui permettant de prendre le contrôle de leurs cerveau. Il va s’en servir pour se venger de sa famille, ainsi que d’autres personnes de son entourages. Tous l’ayant maltraité physiquement ou psychologiquement.

Hugues : Quarante-et-un an, le père de Jonas. Si lui même n’a jamais maltraité son fils, il n’a rien vu de ses tourments. Son fils l’aime, il le fera participer à sa vengeance. L’homme vient d’ouvrir un bar à pute, où travaille de nouvelles putes, contrôlée mentalement par l’invention de Jonas.

Martha : Jolie rousse de trente ans. La belle-mère de Jonas. L’une des principales instigatrice des souffrances du jeune hommes. Ce sera l’une de ses principale victime.

Léa : Superbe jeune femme de dix-neuf ans. Un vrai canon blond. La sœur de Jonas. C’était la pire de toutes avec lui. C’est la première victime de son frère.

Radiu : Maquereau roumain, âgé d’une cinquantaine d’années, indic des flics. Il est le nouveau patron de Martha et de Léa. Il va les faire prostituer dans son bar « La chatte sauvage ».

Siobanne : 23 ans, superbe métisse d’origine indienne d’Amérique et Suédoise. C’est la meilleure amie de Léa, ainsi que l’amour secret de Jonas. Son corps parfait, sa peau mat, ses superbes yeux verts émeraude, en font une des plus belles femmes du monde. D’ailleurs son titre de Miss Univers en a fait, pour l’année précédente, la plus parfaite humaine sur terre. Dorénavant, Jonas sort avec.

Lin : Jeune japonaise de vingt ans. Une vraie femme-enfant. Lesbienne, elle fait pourtant tourner la tête de beaucoup d’hommes, par sa beauté et son aspect si frêle.

Cindy et Laure : Deux jumelles de dix-huit ans, blonde, canons. Ce sont les préférées de Jonas, parmi les nouvelles putain de Radiu et son père.

Romina : Une superbe femme de quarante-trois ans. Blonde, mince, des formes pulpeuses. Physiquement, elle paraît vingt ans de moins. Elle est juste un peu moins belle que Siobanne. Elle tombera sous le joug de Jonas, qui la violera longuement.

Maja : Dix-huit ans. La fille de Romina. Châtain claire, la jeune fille a un corps parfait, avec les mensuration rêvée de toutes femmes, elle semble avoir été dessinée par la main de dieu. Elle sera elle aussi longuement violée par Jonas. C’est un vrai canon, la seule fille que Jonas connaisse qui puisse soutenir la comparaison avec Siobanne, mais dans un style différent. Si on devait départager leurs beauté, Siobanne gagnerait une fois de plus, mais d’un cheveu.

Aurélie Dumont. Châtain, très belle et sexy.Vingt-cinq ans, professeur dans la même université que Jonas. Ils enseignent la même matière. Elle était la star des profs avant l’avènement de Jonas. Depuis elle lui vous une haine farouche qu’il le lui rend bien.

Simone. Cinquante-six ans. Une superbe brune qui ne fait pas plus que quarante ans. Un corps de jeune fille. Bien malgré elle, il dégage de sa personne un vrai appel au sexe. Jonas l’a rencontré dans un supermarché, il décide de jouer un peu avec elle.

Je suis chez Paolo un réalisateur de porno célèbre. Ma sœur, Léa vient de se faire baiser et sodomiser par deux chiens. Elle à eut un orgasme à chaque éjaculation mais n’a pas aimer du tout.

Je viens de proposer à Paolo un gang bang canin, mais pas avec ma sœur.

– Qui sera l’actrice si ce n’est pas ta sœur?

– Ma belle-mère et Lin, une jeune chinoise que ma copine déteste. Je vois le truc comme une battle de baise canine, où chacune des deux femmes jouira tout du long. Celle qui demandera grâce la première perdra.

– Putain c’est une idée géniale, par contre il faudra beaucoup de chiens, il va me falloir quelques semaines pour organiser ça.

– Pas de soucis, tu as tout ton temps, fais d’abord le film avec Léa, puis organise-toi. Je ne suis pas pressé.

– Je préfère faire les deux en même temps, cela peut être sympa.

– Pourquoi pas, c’est toi le spécialiste.

– Bien je t’appelles dés que c’est bon. J’espère juste que tes actrices apprécieront vraiment, qu’elle ne simuleront pas.

– Je te garantis que non.

– Ce sera une première, vraiment.

– Tant mieux. Quand tu as finis avec ma sœur, renvoi la moi, mais fais la rentrer à pieds, elle se démerdera.

– Comme tu veux.

– Tiens.

J’ai donné une robe à Paolo.

– C’est quoi?

– Ma sœurette doit porter ça pour rentrer.

– Mais cela va être vraiment court et moulant.

– Oui, comme ça elle trouvera peut-être des clients sur la route.

Je suis partie laissant Léa avec Paolo. J’ai hésité à aller chez Romina, mais je n’aurais pas le temps, j’ai un cours à donner. Je vous en ai parlé dans le début de l’histoire, j’ai une chaire dans une université de la ville. Si j’étais étudiant dans l’autre, c’est juste pour Siobanne. Trois après-midi par semaine, je donne des cours, trois heures par journée. Si au début elazığ escort mes cours n’étais suivit que par une cinquantaine d’élèves, maintenant ma salle est pleine. Tous veulent voir le monstre qui tombent autant de fille, la gnome qui est en couple avec une ancienne Miss Univers. Bien entendu, je suis un pro, mes cours sont parfait, travaillé. L’université à une particularité, c’est qu’elle donne sa chance à beaucoup de jeunes professeurs. Lui donnant la réputation d’être avant-gardiste. En fait tout est recherché, ils recrutent seulement les meilleurs jeunes profs, les plus prometteur, qu’ils trouvent à travers le pays. Ou des jeunes comme moi qui sont bardés de diplômes de haute voltige. Ces sont eux qui sont venu me chercher.

A l’époque je me suis empressé d’accepter cet emploi tombé du ciel, avec mon physique jamais je n’aurais cru être un jour prof d’université. Sans parler de mon jeune âge. Aussi ces neufs heures du cours par semaine furent pour moi un véritable cadeau. Au début j’ai laissé indifférent les autres profs, tandis que je fantasmais sur une quinzaine de jeune et jolies professeur. Aujourd’hui je suis une star, et je suscite la jalousie de beaucoup de mes collègues. Bizarrement ce sont surtout les femmes qui sont jalouse de moi, les hommes eux, admirent mes talents de Don Juan. Si je me suis promis de me faire toutes les profs sur qui j’ai fantasmé, il y en a une à qui je voue une haine farouche. Aurélie Dumont. Jeune, elle a vingt cinq ans, splendide, un superbe corps. Depuis le début je l’ai dégoûtée, elle me parlait mal, m’humiliait dés qu’elle le pouvait. Mais cela c’est dégradé encore plus depuis que je l’ai supplantée. En effet, c’est elle qui étais l’ancienne prof star de l’université. On se battait pour assister à ses cours, la liste d’attente était énorme, des élèves suivaient ses cours assis sur les marches. Maintenant son amphi n’est plus qu’a moitié vide, et encore, les jours de grande affluence, sinon la moyenne est d’un tiers de remplissage. A son grand désespoir.

Depuis deux mois, j’ai entamé ma vengeance, j’interdis à tout élèves suivant ses cours de suivre les miens. Lui vidant donc peu à peu son amphi. Mais cela fait deux semaines que je n’ai pus me renseigner sur le nombres de ses élèves. Aussi je suis surpris quand après mes cours, préparant le prochain tranquillement dans mon bureau, ma porte s’ouvre brutalement. Aurélie telle une furie y pénètre dedans. Je la trouve encore plus belle en colère.

– Espèce de salaud, c’est de ta faute tout ça?

– Quoi?

– Ne fais pas l’ignorant!

Je suis vraiment surpris, je ne sais pas de quoi elle parle, je sais juste une chose, la demoiselle est toute rouge, et cela ne me surprendrais pas qu’elle cherche à m’étrangler.

– Je ne vois pas de quoi tu parles?

– Je sais que tu n’accepte pas dans ta classe les élèves suivant mes cours!

– Oh, c’est juste ça.

– Juste ça! Juste ça!

Aurélie hurle vraiment comme une folle.

– Pour la troisième fois de la semaine, je n’ai eus aucun élèves. Zéro! Peanuts!

– Ben il ne fallait pas donner les mêmes cours que moi! Ceux qui viennent à ton atelier de cinéma ne sont pas interdits de suivre les miens.

– Salaud, je n’ai aucun élève dans cet atelier qui suit la filière que l’on enseigne, tu le sais très bien!

Elle s’approche de moi, je sens qu’elle va me frapper, j’appuie vite sur mon invention. Aussitôt Aurélie se fige, droite.

– Tu es qui?

– L’esclave.

– Et moi?

– Le maître.

– Parfait.

Je pose quelques questions à Aurélie, ses réponses me surprenne. Je réfléchis vite. Un plan me vient à l’esprit. Un plan machiavélique qui me fait bander immédiatement. Je me mets alors à donner des ordres à Aurélie.

Une heure plus tard, la porte de mon bureau s’ouvre violemment. Aurélie telle une furie y pénètre dedans. Je la trouve encore plus belle en colère.

– Espèce de salaud, c’est de ta faute tout ça?

– Quoi?

– Ne fais pas l’ignorant!

– Je ne vois pas de quoi tu parles?

– Je sais que tu n’accepte pas dans ta classe les élèves suivant mes cours!

– Oh, c’est juste ça.

– Juste ça! Juste ça!

Aurélie hurle vraiment comme une folle.

– Pour la troisième fois de la semaine, je n’ai eus aucun élèves. Zéro! Peanuts!

– Ben il ne fallait pas donner les mêmes cours que moi! Ceux qui viennent à ton atelier de cinéma ne sont pas interdits de suivre les miens.

– Salaud, je n’ai aucun élève dans cet atelier qui suit la filière que l’on enseigne, tu le sais très bien!

Elle s’approche de moi, je sens qu’elle va me frapper, mais je n’ai pas le temps d’esquiver cette folle. Deux gifles m’arrivent en pleine face, faisant voler mes lunettes, heureusement qu’elles sont incassable. Aurélie marche dessus, les brises en morceau. Heureusement j’en ai toujours une deuxième paire de secoure avec moi. J’ai peur qu’elle me tue, elle est devant moi, les poings serré. Elle m’attrape par le col de ma chemise. Approche sa tête de la mienne, je erzincan escort sens son souffle sur mon visage quand elle me hurle dessus. Je ne pense même pas à me servir de mon invention.

– Je vais me venger, tu entends salaud, je vais me venger. Je vais faire de ta vie un enfer, je vais te détruire, tu vas payer pour cela. Je te garantis que dans moins de deux mois, tu me supplieras de faire cesser tout ce qu’il va t’arriver. Mais je ne ferais rien, je te laisserais t’enfoncer jusque à ce que tu te suicide, tu n’auras pas d’autres issues à cela.

Aurélie me lâche enfin, toujours en mode furie, elle sort de mon bureau. Avant de refermer ma porte, elle se retourne.

– Un conseil, lundi, je veux que tu dises à tout tes élèves de suivre mes cours. Peut-être qu’alors je me montrerais magnanime envers toi. Je t’aurais bien cogner encore un peu, mais j’ai mon atelier cinéma à m’occuper. De toute façon ce qui t’attends sera bien pire que quelques coups, vraiment bien pire.

Elle claque la porte en sortant, je reste dubitatif mais surtout effrayé. Une seule chose est certaine, je ne cède pas au chantage, je n’en ferais rien. Avant de partir, je passe voir le directeur de l’établissement. J’ai une petite conversation avec lui, puis je rentre chez moi.

Le soir c’est sur ma belle-mère et Lin que je passe ma frustration. Elles se souviendront longtemps de cette partie de baise, ressemblant à un viol sordide. Mais l’image d’Aurélie ne quitte pas ma tête, me gâchant un peu le plaisir.

Aurélie quand à elle, se rend à son atelier cinéma. Passionnée du septième art, la jeune femme à fondée cet atelier. Bien entendu elle à réussit à rattacher l’atelier à la filière cinéma de l’université, ce qui fait que les notes qu’elle donne sont comptée dans le cursus continue de l’élève, le zéro étant éliminatoire. Mais après son engueulade avec Jonas, c’est énervée que la jeune femme se rend à son cours. Surtout que aujourd’hui elle est en groupe restreint. Il n’y aura que ses cinq plus mauvais élèves. Si il ne font pas un bon boulot aujourd’hui, elle leur mettra un zéro, ceux qui les giclera de son atelier, même si cela signifie pour eux la fin de leurs rêve. Aurélie bien que très belle n’est pas une fille gentille, elle déteste la médiocrité et ces cinq là le sont particulièrement. Ils leurs restent deux heures pour se sauver. La jeune prof n’aura pas de pitié.

L’atelier se trouve au fin fond de l’université, dans un vieil hangar autrefois désaffecté. Seul un tiers de la salle est occupé par son cours. Le matériel provient de certains studio de cinéma qui les lui ont donné plutôt que de les jeter. Le matériel n’est pas de première jeunesse mais il suffit largement. Seul l’ordinateur chargé de gérer les caméras, d’enregistrer ce que les élèves tournent est de dernier cri. Un vrai matos de pro, neuf, financé par le fond cinématographique universitaire. Le reste de la pièce est occupé par de vieux trucs de l’université. Matelas, bureau, tapis de gym. Cela ne sert plus, mais on les gardent en cas de besoin. En entrant dans la salle, les cinq élèves l’attendent. Aurélie retient une grimace de dégoût. En plus d’être nul, deux sont vraiment laid, un est horriblement gros, les deux derniers sont sale et puant. C’est vraiment la lie de l’humanité. La prof ignore qu’ils se sont plus inscrit à son atelier pour la mater plutôt que pour le cours en lui même.

Aurélie est très sexy même si elle s’habille sagement. Aujourd’hui elle porte un chemisier blanc et une jupe lui arrivant juste en haut des genoux, avec de jolie talon aiguille noir. Bizarrement elle sent une chaleur l’envahir en voyant les cinq jeunes. Ils n’ont que dix-sept ans, mais ils lui font un petit effet. La prof de vingt-cinq ans se dit qu’il est largement temps de se trouver un mec, si elle ressent un petit truc avec ces ado horrible, c’est qu’elle a vraiment besoin de sexe, pourtant elle a toujours détestée ça. Surtout l’éjaculation du mec en elle, sentir le sperme couler, beurk, elle trouve cela vraiment dégueulasse. En y réfléchissant, elle se dit qu’il est temps, quatre ans que personne ne l’a touchée. Elle a consacrée tout son temps à son travail, il est temps de penser un peu à elle. Quitte même à se payer un gigolo pour une nuit. Au moins lui mettra une capote, elle n’aura pas à sentir ce liquide horrible jaillir en elle. Oui, un gigolo, c’est une des meilleures idées de sa vie.

Bien entendu, le cours se passe mal. Aucun des cinq n’est capable de filmer un truc correctement. Pas une seconde de sauvable sur les deux heures de tournages. Aurélie n’a pas le choix, elle va leur mettre le zéro. Elle réunit le petit groupe.

– Messieurs, je suis désolée, mais vous êtes nul, je vais devoir vous mettre un zéro à tous.

– Mais ce n’est pas possible mademoiselle, on va être virer.

– Vous êtes nul, je vais vous montrer ce qu’est un vrai bon résultat. On discutera de tout ça après.

La jeune femme fait mettre un matelas au milieu de la pièce, puis elle met en place six caméra qu’elle règle. Elle fait semblant erzurum escort de lancer l’enregistrement de toutes les caméras. Elle fait mettre ses élèves au milieu de la pièce. Devant les caméra. Tout sera filmé, mais pas enregistré. Il faut qu’ils croient à ce qu’elle va leur raconter.

Aurélie fait face à ses cinq élèves. Elle prend la parole.

– Messieurs, vous êtes la honte du cinéma.

Ils la regardent éberlués.

– J’ai décidée, comme je vous l’ai dis, de vous mettre un zéro à tous!

Là, les cinq jeunes garçons sont abasourdi, ce n’était pas juste un coup de colère. Le gros, qui s’appelle Joey, prend la parole.

– Madame, pitié, on va tous être virés!

Aurélie les regardent, puis une idée lui vient, elle sait comment piéger Jonas, même si ce qu’elle doit faire pour ça la dégoûte plus que tout. Elle peut joindre le très utile à l’un peu agréable. Oui, le plan qui vient de jaillir dans sa tête peut-être vraiment sympa. Bien mieux que ce qu’elle avait prévu pour Jonas.

– Bon je vais vous laisser une chance d’avoir une bonne note. Vous êtes stupide et nul, mais là je pense que vous y arriverez!

– Tout ce que vous voulez mademoiselle.

– Parfait vous allez tous me baiser. J’ai un fantasme depuis toute jeune, mais je n’ai jamais pus le faire. Trop dangereux. Mais vous, si vous voulez avoir une meilleure note, vous le réaliserez avec moi, et surtout vous fermerez vos gueules après.

Aurélie n’en revient pas de ses paroles. Ses élèves non plus. Mais sa haine pour Jonas est plus forte que tout.

– Ne faites pas cette tête. Vous m’avez bien entendu. Vous allez me prendre ensemble. Par devant, par derrière, dans la bouche. Vous allez me violer, enfin faire comme si. Par contre se sera l’un après l’autre, pas ensemble, sauf dans la bouche. Là, je vous autorise à ce que l’un me prenne par le vagin ou l’anus et l’autre m’oblige à le sucer. Mon fantasme c’est d’être violée par un groupe d’élèves. Vous jouerez ce rôle. Tout sera filmé, comme ça je pourrais me caresser plus tard, en regardant le film.Je vous rassure ce que je vous dis actuellement est filmé aussi, la preuve les caméras sont en rouge. Comme ça vous pouvez être certain que je ne vous la fais pas à l’envers.

Aurélie sait très bien, qui si ce que filme les caméras est retransmis sur les écrans, rien ne s’enregistre. Mais les jeunes n’ont rien à craindre, ce n’est pas eux qui sont la cible de sa haine.

– Mais madame…

– Ta gueule Joey, laisse moi parler. Ne fais pas un truc con pour une fois dans ta vie. Toutes façon dites-vous bien que ce sera la seule fois de votre existence où vous avez la chance de baiser un canon comme moi. Belle, bien foutue. Je suis vierge de l’anus en plus, peu de femme accepteront que vous les sodomisiez, alors des pucelles du cul je serais sûrement la seule. Mais un seul mot sans que je ne vous pose une question et j’annule tout. Compris?

Joey déglutit difficilement.

– Oui mademoiselle.

– Bien, maintenant si un ou plusieurs d’entre vous ne veulent pas, qu’ils sortent immédiatement.

Les cinq garçon se regardent. Aucun n’a envie de partir, ils vont pouvoir baiser l’objet de leurs fantasmes. En plus, tous son puceau.

– Parfait, appelez vos parents, vous allez m’avoir pendant deux heures. Pas plus longtemps.

Tous approuvent, baiser leur prof même deux heures, cela va bien au-delà de tout ce qu’ils ont pus rêver.

– Bien voilà comment cela va se dérouler. Comme je vous l’ai dis, vous allez devoir me baiser de partout. Je veux que cela soit violent, comme un véritable viol. C’est ce que ce sera, vous serez des violeurs et moi votre victime. Vous me ferez ce que vous voudrez, je suis certaine que des épaves comme vous matent des tas de film classé X.

Tous la regardent éberlués.

– Vous pourrez tapez, mais pas trop fort quand même, juste de quoi laisser des bleus sur mon corps. Vous pourrez me mordre, vous me défoncerez, me prendrez le plus violemment possible. Mais attention, pas de marque sur mon visage ou mes mains, ni en dessous des cuisses, rien ne doit être visible quand je suis habillée.

Aurélie à l’impression d’être folle. La jeune femme n’en revient pas qu’elle dise tout ça. Elle qui déteste déjà le sexe quand il est fait en douceur, là c’est vraiment aberrant qu’elle demande cela. Elle haï Jonas, bien plus qu’elle ne le pensait. Son plan à vraiment intérêt à fonctionner.

Aurélie s’éloigne, elle va chercher des accessoires, trouve ce qu’elle veut. Elle les lancent sur le matelas. Il y a un chiffon, une paire de menottes. Elle regarde ses élèves.

– Vous me menotterez les bras dans le dos. Le chiffon c’est pour faire office de bâillon. Vous me l’enfoncerez dans la bouche à chaque fois qu’aucun de vous ne se fera sucer. Des questions?

Personne ne parle.

– Parfait. Je vais me mettre hors champ. Vous m’entraînerez sur le matelas, comme si vous me forciez. Vous allez m’enlever es vêtements. Je vais me débattre pour de vrai, alors si vous voulez tremper votre biscuit dans mon corps à vous de faire le nécessaire. C’est la seule fois où vous aurez le droit de frapper mon visage. Mais que des gifles. Vous allez me baiser de toutes vos forces, comme si vous vouliez me tuer avec vos bites. N’ayez aucune pitié, si je hurle que cela ne vous arrête pas. Pareil pour mes suppliques. Compris?

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Späte Lust

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Domination

In dieser Geschichte geht es um die Bedürfnisse einer älteren Dame (73), die ihre Krankenpflegerin um einen ungewöhnlichen Gefallen bittet. Wer eine Aversion gegen sexuelle Handlungen mit alten Menschen hegt oder Stories nichts abgewinnen kann, in denen die Frauen nicht mehr jung und knackig sind, sollte eine andere Lektüre auswählen. Ich habe die Geschichte primär nicht geschrieben, um die Massen zu erregen.

Ich wünsche gute Unterhaltung mit der Geschichte.

PS:

Wer meint, dass sexuelle Handlungen alter Menschen ekelig oder widerwärtig sind, sollte sich vor Augen führen, dass man selber in das Alter kommt, wo flotte Rundungen den Falten weichen.

Copyright by swriter Juni 2014

„Sie wollen WAS???”

Margarete wich dem Blick der anderen Frau nicht aus, deren Gesichtsfarbe sich in ein dunkles rosa verwandelt hatte. Sie wurde von zwei funkelnden Augen angestarrt, die sie taxierten. Die alte Frau versuchte gelassen zu wirken, auch wenn sie innerlich nervös und unsicher war. Margarete war eine Dame im zarten Alter von 73 und hatte ihren Ehemann überlebt. Dieser war vor knapp fünf Jahren von ihr gegangen. Sie verfluchte den Krebs heute noch. Sie hatten eine harmonische Ehe geführt, die von Vertrauen und Liebe geprägt war. Sie kannten sich über 40 Jahre lang und hatten ihre gemeinsame Lebenszeit in vollen Zügen genossen. Plötzlich war sie alleine gewesen. Die Wohnung kam ihr zu groß vor, die einsamen Stunden machten ihr zu schaffen. Die früheren Freunde waren verstorben, verzogen oder vegetierten in einem Heim vor sich hin. Was war ihr vom Leben geblieben? Sie hatte zwei Söhne großgezogen, die sie heute höchstens zum Geburtstag oder zum Muttertag anriefen. Besuch bekam sie kaum. Gesundheitlich ging es ihr den Umständen entsprechend. Sie hatte Arthritis, ihre Beine schmerzten. Große Strecken konnte sie nicht mehr zurücklegen. Weitere kleine Wehwehchen gesellten sich dazu und seit geraumer Zeit nahm Margarete die Hilfe einer Pflegekraft in Anspruch.

Die Frau, die immer noch entrüstet vor ihr saß, war ihre Pflegekraft, die im Rahmen ambulanter Pflege täglich vorbei schaute und sie betreute. Sie half ihr beim Waschen und Anziehen und achtete darauf, dass Margarete die richtigen Medikamente nahm. Tanja war Anfang 30 und übte ihren Beruf seit acht Jahren aus. Margarete und sie verstanden sich gut miteinander und die alte Frau freute sich jedes Mal auf den Besuch der Pflegerin, versprach es ihr doch etwas Abwechslung und ein nettes Gespräch mit einer vertrauten Person. Tanja war privat engagiert worden und dank Margaretes üppiger Witwenrente konnte die Pflegerin regelmäßig vorbeischauen und zur Unterhaltung der alten Dame beitragen. Dass ihre Pflegekraft in diesem Augenblick fassungslos war und ihre Patientin mit strengem Blick bedachte, hatte seinen Grund. In diesem Zusammenhang sei etwas weiter ausgeholt.

Margaretes Sexleben war erfüllend gewesen. Im Alter von 19 hatte sie ihre Unschuld einem jungen Mann geschenkt, mit dem sie mehrere Wochen zusammen gewesen war. Sie hatten sich auf einem Dorffest kennengelernt und vom ersten Augenblick an gab es diese gegenseitige Anziehungskraft, die Margarete sogleich wahrgenommen hatte. Er machte ihr den Hof. Sie fühlte sich geschmeichelt. Er war erfahrener als sie und betörte sie. Sie entschied, ihn den Ersten sein zu lassen und verlor ihre Jungfräulichkeit an einem regnerischen Sommerabend in einer Scheune auf dem Grundstück des Nachbarn. Sie konnte sich noch heute an das piksende Stroh an ihrem Hintern erinnern. Nach ihrem ersten Mal verlor ihr Liebhaber das Interesse an ihr. War sie doch nur eine weitere Kerbe in seinem Bettpfosten. Den nächsten Versuch, einem Mann näher zu kommen, unternahm sie ein halbes Jahr später.

Sie hatte sich auf einem Volksfest heimlich betrunken, indem sie nicht geleerte Biergläser stibitzt und ausgetrunken hatte, und ihre Freundinnen hatten sie aus den Augen verloren. Der Mann, der ihre Nähe gesucht hatte, hatte leichtes Spiel gehabt, sie rumzukriegen und bedrängte sie auf der Rücksitzbank seines VW Käfer. Auch mit diesem Partner blieb es bei einem einmaligen Versuch. Dann hatte sie Karl kennen und lieben gelernt. Sie war dem jungen Mann im Kino begegnet. Er war ihr sogleich aufgefallen. Seine sympathische Art und sein süßes Lächeln hatten ihr von Anfang an gefallen. Er schien sich für sie zu interessieren, brachte aber nicht den Mut auf, sie anzusprechen. Es dauerte zwei Wochen, bis er sich einen Ruck gab und sich ihr zu nähern traute. Margarete war glücklich über seine Aufwartung und sie kamen vorsichtig zusammen. Er machte ihr den Hof und bedachte sie mit kleinen Geschenken. Sie machten Ausflüge, redeten stundenlang und erkannten, dass sie etwas Tiefes füreinander empfanden.

Nach drei Monaten machte Karl ihr einen Antrag. Margarete nahm ohne zu überlegen an. In ihrer Hochzeitsnacht gab sie sich ihm das erste Mal hin. Sie bedauerte zutiefst, dass sie ihm nicht ihre Unschuld schenken konnte. Karl war noch unerfahren, hatte aber kein Problem mit der fehlenden Unberührtheit bitlis escort seiner Ehefrau. Dennoch hatte Margarete lange Zeit mit ihren vorehelichen Verfehlungen zu kämpfen gehabt. Karl sollte der letzte Liebhaber gewesen sein. Zu Beginn ihrer Ehe ließen sie die Betten wackeln. Es gab so viele schöne Dinge zu erleben, so viele Gefühle auszutauschen. Sie probierten Sachen aus, von denen Margarete nicht einmal ansatzweise gewusst hatte. Sie waren experimentierfreudig und wagten etwas. Sex in der freien Natur gehörte ebenso zu ihrem Repertoire wie das Experimentieren mit ungewöhnlichen Sexpositionen. Sie hatten großen Spaß an ihrer körperlichen Nähe und gingen auf die Bedürfnisse und Wünsche ihres Partners ein. Sie hatten nie das Bedürfnis nach anderen Beteiligten verspürt. Sie wollten ihre Zweisamkeit für sich genießen und unter sich bleiben.

Nachdem die Kinder auf der Welt waren, verlief ihr Sexleben erwartungsgemäß beschaulicher. Später, nachdem die Kinder älter und selbstständiger waren, fanden die Eheleute wieder häufiger zusammen und lebten ihr Sexleben erneut in vollen Zügen aus. Nachdem Karl und Margarete die wohlverdiente Rente erreicht hatten, genossen sie ihr Leben und auch der Sex kam nicht zu kurz. Es war weniger hart und schnell, dafür bedachter und sinnlicher als früher. Sie praktizierten keine wilden Sexstellungen mehr und begnügten sich mit ihrem Ehebett im heimischen Schlafzimmer. Es war stets schön und erfüllend … Bis zu der schlimmen Diagnose für Karl. Er hatte nur noch wenige Monate auf dieser Welt. Diese Erkenntnis setzte beiden Partnern zu und versetzte sie in große Trauer. Plötzlich war kein Platz mehr für Lust und Zärtlichkeiten. Es galt die verbliebene gemeinsame Zeit zu nutzen und jede Minute miteinander zu verbringen.

Margarete und Karl rückten enger zusammen, teilten ihre verborgensten Geheimnisse, küssten und liebkosten sich, schmiegten sich aneinander und vermittelten sich das Gefühl, gebraucht und geliebt zu werden. Mit zunehmender Zeit ging es Karl immer schlechter und an Sex war nicht zu denken. Margarete vermisste das Körperliche nicht, da ihr die Nähe zu ihrem Mann viel wertvoller war, als es der Austausch von Körperflüssigkeiten hätte sein können. Dann nahm der Herr Karl zu sich und Margarete fiel in eine tiefe Depression, aus der sie lange Zeit nicht herauskam. Mit ihren seelischen Qualen gingen die körperlichen Gebrechen einher und ihr war deutlich Einiges ihrer früheren Lebensfreude abhandengekommen. Nach einer Weile sehnte sich Margarete nach den Gefühlen, die sie mit Karl hatte teilen dürfen, doch sie sah sich nicht mehr in der Lage, die Lust früherer Zeit heraufzubeschwören. Wenn sie sich berührte, wollte kein Vergnügen aufkommen. Auf einen neuen Partner wollte sie sich nicht einlassen. Margarete fand, dass es Karl gegenüber nicht gerecht wäre. Insgeheim glaubte sie, dass er sich für sie wünschen würde, wieder glücklich zu werden, doch sie zog es vor, abstinent zu bleiben, im Wissen, dass es eine Liebe wie zu ihrem verstorbenem Mann nie mehr geben würde.

Im Laufe der letzten Zeit war Tanja, ihre Pflegerin, zu ihrer engsten Vertrauensperson geworden. Die korpulente Frau mit den schulterlangen braunen Haaren und dem sympathischen Lächeln vermittelte Margarete das Gefühl, ein geliebter und geschätzter Mensch zu sein. Tanja suchte das Gespräch und war gerne bereit, der alten Frau aus ihrem Leben zu berichten. Sie war verheiratet und hatte zwei Kinder. Ihre Ehe verlief glücklich und harmonisch und der Beruf machte ihr Spaß. Margarete nahm durch die Erzählungen an Tanjas Leben teil und freute sich für ihre engste Vertraute, dass sie ein angenehmes und erfülltes Leben führte. Manchmal dachte sie mit Wehmut an ihr eigenes schönes Leben zurück, das vor fünf Jahren in unschöne Bahnen gelenkt wurde. Sie hatte lange überlegt, ob sie Tanja ins Vertrauen ziehen sollte. Die Krankenschwester war eine Freundin geworden. Trotz des Altersunterschieds von über 40 Jahren verband sie etwas miteinander. Margarete glaubte, ihr am nächsten zu sein und hoffte, mit Tanja über alles reden zu können. Ihr Vorhaben war mit einem gewissen Risiko verbunden gewesen und dennoch hatte Margarete allen Mut zusammengenommen und ihr Anliegen vorgebracht.

Jetzt saß Tanja schweigend auf der Couch und warf der auf dem Sessel sitzenden 73-Jährigen fragende Blicke zu.

„Margarete … Ich bin mir nicht sicher, ob ich Sie richtig verstanden habe”, erklärte die Krankenschwester.

„Ich kann mir vorstellen, dass es für Sie überraschend kommt … mein Anliegen. Ich habe lange überlegt, ob ich Ihnen meine Wünsche und Sehnsüchte offenbaren soll. Es hat mir keine Ruhe gelassen, und obwohl ich weiß, dass ich Ihnen damit zu nahe trete, sah ich keinen anderen Ausweg, als mich Ihnen zu öffnen.”

„Ich bin in der Tat überrascht. Damit hatte ich natürlich nicht gerechnet. Sie bitten mich also, Ihnen behilflich zu sein … ja, wobei jetzt genau?”

Margarete seufzte schwer. „Liebe Tanja … Als ich in Ihrem Alter war, habe ich eine glückliche Ehe bolu escort geführt. Ich liebte meinen Mann und natürlich auch meine Söhne. Mit Karl teilte ich mein Leben und wir waren eine Einheit. Ich wünsche Ihnen, dass Sie und Ihr Mann diese Harmonie genießen, die ich kennengelernt habe.”

„Ich denke, dass es ganz gut läuft. Natürlich nicht immer, aber ich kann mir nicht vorstellen, ohne meinen Mann zu sein”, berichtete Tanja. „Um auf Ihr Anliegen zurückzukommen …”

Margarete lächelte schwach. „Vielleicht war es doch keine gute Idee, Sie damit zu behelligen.”

„Nein. Ist schon gut. Es überrascht mich nur.”

„Die Flamme der Leidenschaft ist vor vielen Jahren in mir erloschen. Ich habe den Teil meines Lebens hinter mich gelassen. Ich habe mit Karl alles erlebt, was ich mir zu träumen gewagt habe und ich kann sagen, dass ich zufrieden war und mich gerne an frühere Zeiten zurück erinnere … In letzter Zeit mache ich mir allerdings Gedanken, ob ich den Rest meines Lebens als alte und verhärmte Greisin dahinvegetieren soll.”

„Margarete … Sie haben noch viele schöne Jahre. Das Leben hat noch Einiges für Sie zu bieten.”

„Es freut mich, dass Sie mich aufzumuntern versuchen, Tanja. Aber machen wir uns nichts vor. Der Lack ist ab und es wird eher schlechter als besser. Ich habe mir aber vorgenommen, nicht so einfach zu sterben, ohne noch einmal etwas Besonderes zu erfahren. Ich möchte das erleben, was mir früher so viel Freude bereitet hat. Ich möchte etwas spüren, genießen, etwas empfinden, was ich schon lange Zeil nicht mehr erleben durfte.”

„Und hier komme ich ins Spiel”, stellte Tanja nüchtern fest.

„Mir ist bewusst, dass ich Sie mit meinem Anliegen überrumple. Aber Sie sind meine engste Vertraute, so traurig sich das auch anhören mag.”

„Ich bin Ihnen gerne nahe. Ich kenne viele ältere Menschen, die einsam sind und ich freue mich, wenn Sie sich in meiner Gegenwart wohlfühlen und ich Ihnen etwas geben kann.”

„Sie können mir in der Tat etwas geben. Ich bin mir nur nicht sicher, ob ich nicht zu viel von Ihnen verlange.”

Die Krankenschwester schwieg und sah Margarete eindringlich an. „Was soll ich konkret tun?”

„Ich habe es mir so einfach vorgestellt. Jetzt bin ich mir nicht mehr sicher, ob ich es will. Und ob ich es Ihnen zumuten möchte”, gestand die alte Frau.

„Es hat mich natürlich überrascht und auf dem falschen Fuß erwischt. Wenn ich in Ruhe darüber nachdenke … So unglaublich ungewöhnlich kommt mit der Wunsch nicht vor.”

Margarete zwang sich zu einem Lächeln. „Es schmerzt mich, dass Sie mich möglicherweise für eine verschrobene oder verrückte alte Dame halten, aber ich bin gewillt, meine Reputation einzubüßen für den Versuch, etwas Freude in meinen Alltag zu bringen … Ich würde mich sehr freuen, wenn Sie meinen Wunsch respektieren würden. Ob Sie sich ihm widmen möchten, entscheiden Sie bitte ganz in Ruhe.”

„Das muss ich nicht.”

Margarete sah ihre Pflegerin überrascht an. „Das müssen Sie nicht?”

„Nein, ich habe mich entschieden. Ich mache es.”

„Sind Sie sich sicher?”

„Ja, ich denke schon. Ich würde mich freuen, wenn ich Ihnen behilflich sein dürfte.”

„Das überrascht mich jetzt. Dem Grunde nach habe ich mit allem gerechnet, nur nicht mit Ihrer baldigen Zustimmung.”

„Ich bin halt ein spontaner Mensch”, erklärte Tanja mit einem Grinsen auf den Lippen. „Wollen wir es vielleicht sofort angehen?”

Margarete nickte stumm. Tanja erhob sich von ihrem Platz und näherte sich ihrer Patientin. Margarete war die Letzte in ihrer Tour, sodass sie sich Zeit nehmen konnte, sich um die alte Frau zu kümmern. Sie nahm sie beim Arm und half ihr auf. Margarete setzte ein schmerzverzerrtes Gesicht auf, überspielte ihre Beschwerden aber mit einem Lächeln. Tanja führte sie am Arm zum Schlafzimmer der alten Dame. Margarete setzte sich auf die Bettkante und Tanja begann, ihr die Bluse aufzuknöpfen.

Sie zog ihr das Kleidungsstück aus. Ein hautfarbener Büstenhalter kam zum Vorschein, der eine gewichtige, aber schlaffe Oberweite zu halten hatte. Kurz darauf lag der Rock auf dem Boden. Margarete war nervös und betrachtete ihre Unterwäsche. Früher hatte sie flotte Wäsche getragen. Karl hatte es gefallen. Für wen hätte sie sich jetzt hübsch machen sollen?

„Ist es Ihnen recht, wenn ich den BH abnehme?”, erkundigte sich Tanja.

„Ja, gerne.”

Wenig später lag Margarete ausgestreckt auf ihrem Bett. Sie war von Kopf bis Fuß nackt und wurde nur durch eine dünne Decke verhüllt. Tanja hatte den Raum verlassen und ließ ihrer Patientin Zeit, um über ihren Wunsch nachzudenken. Wollte sie ihr Vorhaben wirklich in die Tat umsetzen? Wie würde sich ihr Verhältnis zu ihrer Pflegerin verändern? Auf einmal kam ihr das eigene Anliegen unbedeutend vor. Wie stand sie da? Was musste Tanja von ihr halten? Nein, sie wollte es nicht mehr. Sie musste es sofort beenden.

Die Pflegerin kehrte zurück und setzte ein freundliches Lächeln auf. Margarete versuchte sich burdur escort aufzurichten, spürte aber sogleich den Schmerz in ihren Knochen.

„Warten Sie … Was tun Sie da. Ganz langsam”, mahnte Tanja zur Vorsicht.

„Helfen Sie mir bitte. Ich möchte mich wieder ankleiden.”

„Warum?”

„Es ist eine dumme Idee”, stellte die Rentnerin klar.

„Nein. Ist es nicht.”

Margarete sah die jüngere Frau überrascht an. Diese setzte sich auf die Matratze und nahm Margaretes Hände in ihre. „Ich finde es unglaublich mutig, dass Sie sich mir anvertraut haben. Ich freue mich, dass Sie mich ausgewählt und mir diesen heiklen Wunsch mitgeteilt haben. Es verdient Respekt, wie Sie sich offenbart haben und ja … ich würde Ihnen sehr gerne helfen.”

„Aber es war nur die Idee einer alten Frau, die für einen Augenblick vergessen hat, um was es geht”, argumentierte die Rentnerin. „Sie sind verheiratet und lieben Ihren Mann. Ich kann und darf das nicht von Ihnen verlangen.”

„Ich möchte es tun.”

Die 73-Jährige wurde unsicher. Im Blick der Pflegerin lag so viel Wärme und Liebe, sowie Verständnis und Hilfsbereitschaft. Wollte sie dieses fürsorgliche Angebot ausschlagen? „Ich schäme mich für meine Bedürfnisse.”

„Schlagen Sie sich das mal aus dem Kopf. Das ist großer Blödsinn … Jeder Mensch hat das Recht auf die Befriedigung seiner Bedürfnisse. Und ich würde mir wünschen, dass Sie sich wohlfühlen und wenn ich dabei helfen kann …”

„Ich danke Ihnen.”

„Dann wollen wir mal. Ich werde es behutsam angehen. Und wenn es unangenehm wird, bremsen Sie mich. Einverstanden?”, schlug die Pflegekraft vor.

Margarete nickte stumm und fügte sich in ihr selbst bestimmtes Schicksal. Tanja erhob sich und holte ihre Umhängetasche ans Bett. Sie holte eine Tube mit Creme heraus und setzte sich erneut mit einer Gesäßhälfte auf das Bett.

Sie träufelte eine haselnussgroße Menge der Lotion auf ihre Handfläche und verrieb diese zwischen den Fingern. Dann zog sie mit den Fingerspitzen die Decke von Margaretes Körper und musterte die Brüste der alten Frau. Margarete bemerkte den kritischen Blick und meinte: „Früher hatte ich volle, runde Brüste. Mein Mann liebte meinen Busen. Heute ist meine Oberweite faltig und schrumpelig. Nicht so schön üppig und fest, wie bei Ihnen.”

Tanja lächelte milde. Sie blickte auf ihren Oberkörper herab und erwiderte: „Ich bin ganz zufrieden. Es ist ausreichend Brust da, um mich und meinen Mann zufriedenzustellen. Aber machen wir uns nichts vor … In zwanzig Jahren hängen meine Brüste und werden nicht mehr fest und knackig sein.”

„Warum verlieren wir im Alter unsere Weiblichkeit?”, fragte Margarete wehmütig.

„Wünschen Sie sich, noch immer einen strammen Busen zu haben?”

„Nein, eigentlich nicht. Für wen sollte der sein?”, antwortete ihre Patientin.

„Ich glaube, Sie hatten früher hübsche Brüste. Das sieht man heute noch”, lobte Tanja.

„Sie sind lieb zu mir. Aber Sie müssen mich nicht anlügen, nur um mir einen Gefallen zu tun.”

„Ich lüge nicht”, erklärte Tanja. „Ihre Brüste mögen nicht mehr in Topform sein, aber ich bin mir sicher, dass ein rüstiger Partner Gefallen an ihnen finden würde.”

„Ich bin zu alt, um noch einmal jemanden zu suchen.”

„Warum?”, fragte Tanja nach. „Ich kenne etliche ältere Herren, die liebenswürdig und einsam sind. Viele sehnen sich nach einer Partnerin, mit der sie noch viele schöne Jahre verbringen können … Und wer weiß? Einige sind vielleicht noch potent und haben Bedürfnisse.”

„Wollen Sie mich verkuppeln?”

„Warum nicht …? Ich beginne dann jetzt mal. Einverstanden?”

Margarete zwang sich, zu nicken. Tanja führte ihre Hände auf die Brüste ihrer Patientin zu und begann, das schlaffe Gewebe einzucremen. „Tut das gut?”

„Es fühlt sich angenehm an.”

„Dann mache ich weiter”, stellte die Pflegerin fest und verteilte die Lotion über die Oberweite der Rentnerin.

„Margarete … Es ist noch nicht zu spät, um einen neuen Partner kennenzulernen. Einige meiner Patienten sind gut in Schuss, haben Humor und würden sich über eine nette Gesprächspartnerin freuen. Und selbst in hohem Alter kann es Zärtlichkeit und Berührungen geben.”

„Glauben Sie, die älteren Herren stehen noch ihren Mann?”, fragte Margarete lächelnd nach.

Tanja schmunzelte und nickte stumm. Sie massierte Margaretes Busen und meinte: „Ich wasche täglich Patienten und natürlich auch Männer in deren Intimbereich. Es gehört zu meiner Aufgabe und es ist für mich Routine … Aber offenbar nicht für alle Patienten.”

Margarete sah sie fragend an.

„Mancher ältere Herr freut sich besonders über eine Intimwaschung.”

„Sie meinen … er reagiert auf ihre Berührung?”

Tanja grinste über das ganze Gesicht. „Ich sage mal so … Der ein oder andere wäre durchaus noch in der Lage, eine Frau glücklich zu machen.”

„Dann müssen Sie mir unbedingt die Nummer dieser Herren geben … Für Notfälle”, forderte Margarete scherzhaft.

„Das mache ich … Aber jetzt sehen wir erst einmal zu, dass wir Ihnen zu etwas Entspannung verhelfen.”

Tanja hatte beide Brüste eingecremt. Sie glänzten von der Lotion. Die Pflegerin ließ von der alten Dame ab und fragte: „War es angenehm für Sie?”

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Das Seminar

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Anal

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Hallo Literotica Leser,

diese Geschichte ist der Anfang einer neuen Serie die sich zum Großteil im softerotischen Bereich abspielen wird. Wer den schnellen und harten Sex sucht wird sich hier tödlich langweilen, allen Anderen wünsche ich wie immer viel Spaß beim lesen…

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Schon zum dritten Mal in den letzten 20 Minuten dieses Montag Morgens musste Tina herzhaft gähnen und war froh bald ihre Ausfahrt erreicht zu haben und die A6 verlassen zu können bevor sie wirklich noch ernsthaft in Gefahr geriet am Steuer einzuschlafen. Tina war auf dem Weg von Frankfurt zu einem kleinen Kurort in der Nähe von Heilbronn um dort an einer 4 tägigen Schulung teilzunehmen. Sie arbeitete in der Buchhaltung einer mittelgroßen Frankfurter Spedition und da dort in wenigen Monaten eine ganz neue Buchhaltungssoftware eingeführt werden würde, wurden die Buchhhaltungsmitarbeiter nach und nach zu einer kleinen Unternehmensberatung geschickt welche die Schulungen durchführte. Normalerweise sollten die insgesamt 10 Angestellten immer in zweier Pärchen an dieser Schulung teilnehmen aber ihr Kollege Andreas hatte sich genau den letzten Freitag ausgesucht um sich auf dem zur Arbeit über den Haufen fahren zu lassen und lag jetzt mit einem mehrfach gebrochenen Arm in der Frankfurter Uniklinik. So Leid es Tina für Andreas auch tat, so war sie doch auch ein wenig erleichtert darüber, dass sie die nächsten 4 Tage nicht gemeinsam mit ihm verbringen musste. Seit Tina sich vor etwa 4 Monaten von ihrem Verlobten getrennt hatte machte sich Andreas offensichtlich Hoffnungen bei Tina landen zu können und in seiner schüchternen Art hatte er ihr mehr oder weniger deutlich gemacht, dass er Interesse hätte Tina näher kennen zu lernen. Tina hatte sich in den letzten Wochen reichlich Mühe gegeben so zu tun als würde sie sein Werben nicht bemerken, denn Andreas war ein sehr netter Kollege den Tina auf keinen Fall irgendwie verletzten wollte. Während der normalen Arbeitszeit war es relativ einfach seine schüchternen Annäherungsversuche zu ignorieren aber vor diesen 4 Tagen an denen man auch die Abende zwangsläufig miteinander verbringen würde und zudem auch noch im gleichen Hotel übernachtete hatte sich aus diesem Grund doch etwas Angst gehabt.

Es war durchaus nicht so, dass Tina einer neuen Beziehung durchweg ablehnend gegenüber stand, aber mit ihren 29 Jahren war sie schon der Meinung relativ gut zu wissen wonach sie suchte und sie war sich sicher das es Andreas ganz bestimmt nicht war. Tina war nie eine besonders sportliche Person gewesen, aber sie hatte das Glück das ihr die Natur eine Figur geschenkt hatte die auch ohne viel eigenes Zutun durchaus als ansehnlich zu bezeichnen war. Manchmal hätte sich Tina etwas schlankere Oberschenkel und ein paar Gramm weniger um die Hüften gewünscht, damit ihre knackigen aber nicht allzu großen Brüste besser zur Geltung kommen würden aber welche Frau ist schon 100 % mit ihrer Figur zufrieden, selbst wenn sich die Männer regelmäßig auf der Straße nach ihnen umdrehen was Tina durchaus des öfteren passierte. Sie hatte daher nie große Schwierigkeiten gehabt Männer kennen zu lernen, aber sie hatte mit knapp 30 wirklich keine Lust mehr von Beziehung zu Beziehung zu springen um dann immer wieder nach wenigen Wochen feststellen zu müssen, dass es wohl wieder nicht der Richtige war. Sie war mit ihrem ehemaligen Verlobten knapp 4 Jahre zusammen gewesen und war lange Zeit der Meinung, dass dies die Beziehung war in der sie alt werden würde. Doch wie so häufig hatte der Alltag im Laufe der Zeit vieles kaputt gemacht und als beide irgendwann merkten, dass da eigentlich keine Liebe sondern nur noch Gewohnheit war hatten sich beide in gegenseitigem Einvernehmen getrennt. Auseinander gelebt ist wohl die absolut nüchterne und unromantische aber doch immer wieder treffenden Bezeichnung für diesen Vorgang. Tina war sehr glücklich darüber, dass sie auch alleine bestens durchs Leben kam und hatte sich fest vorgenommen sich mit einer neuen Beziehung Zeit zu lassen bis sie sich sicher war den Richtigen gefunden zu haben, soweit man so etwas vor einer Beziehung überhaupt beurteilen konnte.

Tina hatte schon ein schlechtes Gewissen darüber, dass sie im ersten Moment ein wenig erleichtert darüber war, dass Andreas nicht mitkommen konnte wo der arme Kerl jetzt bestimmt mit Schmerzen im Krankenhaus lag. Aber so war sie nun während dieser 4 Tage frei und ungebunden und schließlich konnte ja niemand sagen wen sie so alles während der Schulung treffen würde. Da durch die Softwareumstellung Firmen aus ganz Deutschland betroffen waren bestand durchaus die Möglichkeit während der nächsten Tage eine nette Bekanntschaft zu machen.

Während Tina mehr oder weniger wach ihren Gedanken nachging erreichte sie endlich ihre Ausfahrt und verließ die A6. Nach einigen Kilometern Landstrasse erreichte sie den Ort und dank der genauen Beschreibung ihrer Kollegin die letzte Woche an dem Seminar teilgenommen hatte fand sie auch ihr Hotel ohne Probleme. Das Schwabenbräu war ein mittelgroßes Hotel mit knapp 60 Zimmern, das in Familienbesitz war und als besondere Attraktion eine eigene Brauerei im Keller beherbergte von deren Bier ihre männlichen Kollegen welche die Tour schon hinter sich hatten noch Wochen später schwärmten. Diese Kollegen hatten ihr deshalb gleich einen Einkaufszettel in die Hand gedrückt bei dessen Ausmaß ardahan escort sie für die Rückfahrt eigentlich einen Biertransporter hätte mieten müssen, aber da sie jetzt nur ihr Gepäck in ihrem Focus transportieren musste, war sie doch zuversichtlich alles verstauen zu können und ihren Kollegen eine Freude machen zu können. Tina bog auf den Hotelparkplatz ein auf dem noch reichlich Plätze zur Verfügung standen und musste schon wieder gähnen. Zum wiederholten Male fragte sie sich wie jemand auf die Idee kommen konnte eine Schulung am Montagmorgen um 9 Uhr beginnen zu lassen und das Ende der Veranstaltung auf Donnerstag 12 Uhr zur legen. Könnte man nicht später beginnen und dafür am Donnerstag etwas länger machen?? Zumal sie mit ihren etwa 200 Kilometern Anreiseweg aus Frankfurt garantiert nicht die längste Anfahrt hatte und sich einige Kursteilnehmer wohl schon mitten in der Nacht auf den Weg gemacht haben mussten. Aber nun ja..jetzt bin ich gelandet und alles wird gut… dachte sie so bei sich während sie ihren Koffer und die Reisetasche aus dem Kofferraum lud und sich auf den Weg zur Rezeption machte. Da die Rezeption nicht besetzt war drückte Tina auf die Klingel und bald bog eine etwa 45 jährige Frau mit ehemals dunklen, jetzt schon leicht ergrauten Haaren um die Ecke. Auf diese Begegnung hatte sich Tina schon mächtig gefreut da sie natürlich von ihren Kollegen schon so einiges über das Hotel erfahren hatte und bereits wusste, dass es sich um die Tochter des Inhabers handelte die Gerüchten zufolge seit etwa 20 Jahren vergeblich auf der Jagd nach einem Ehemann war was wahrscheinlich zum Großteil auch an ihrer ausgesprochenen “Freundlichkeit” lag, die bei allen ehemaligen und aktuellen Besuchern des Hotels schon fast legendär war. “Guten Morgen” sagte Tina freundlich und erhielt als Antwort erstmal nur eisiges Schweigen gepaart mit einem fragenden Blick der Dame.

“Ähhhh…. da müsste ein Zimmer gebucht sein auf Tina Peters” ..startete Tina einen weiteren Versuch der Kommunikation. “Für Peters habe ich nix” kam bald darauf die Antwort von der anderen Seite der Rezeption. “Oh.. na dann ist das Zimmer bestimmt auf den Firmennamen gebucht, bitte schauen Sie mal nach Spedition Wagner”.

“Ja, da habe ich was …warum sagen sie denn das nicht gleich??” mit diesen Worten bekam Tina den Zimmerschlüssel und ein Anmeldeformular vor die Nase geknallt. Na das ist ja ganz großes Kino hier .. dachte sich Tina die sich schmunzelnd daran machte das Formular auszufüllen und zu unterschreiben. Na zum Glück hat die Personalabteilung das Zimmer für Andreas schon am Freitag storniert, wenn ich jetzt verkünden würde das ich alleine anreise und das zweite Zimmer nicht mehr benötigt wird, dann würde die wahrscheinlich über den Tresen gehüpft kommen und mich bei lebendigem Leib auffressen.

Nach den Formalitäten schnappte sich Tina den Zimmerschlüssel und war nicht wirklich überrascht kein “Wir wünschen einen schönen Aufenthalt” oder so was in der Art zu hören. Tinas Zimmer lag im zweiten Stock mit einem schönen Blick auf einen kleinen Park und war durchaus gemütlich mit einem Doppelbett, großem Kleiderschrank und Fernseher eingerichtet. Schmunzelnd stellte Tina fest, dass es wohl in der Zwischenzeit auch in solchen Familienbetrieben außerhalb der Großstädte üblich war ein Pay TV mit den beiden unvermeidlichen Erotik Kanälen im Angebot zu haben. Wobei sie sich irgendwie nicht recht vorstellen konnte, dass die Dame deren Bekanntschaft sie gerade gemacht hatte für die Einführung dieses Programms verantwortlich gewesen war. Erschreckt stellte Tina fest, dass es in der Zwischenzeit doch schon später war als sie vermutet hatte und so verschob sie das Kofferauspacken auf den Abend und machte sich auf den Weg zur Unternehmensberatung die knappe 10 Minuten Fußweg vom Hotel entfernt war. Dort angekommen wurde sie im Gegensatz zum Hotel sehr herzlich begrüßt und bekam einen kleinen Anhänger mit Namen und Firma ausgehändigt. Die Firma verfügte über zwei Schulungsräume von denen aber nur einer belegt zu sein schien. Tina betrat den Schulungsraum und verschaffte sich erstmal einen kurzen Überblick. Es handelte sich um einen recht kleinen Raum mit 4 Tischreihen und 2 Arbeitsplätzen pro Reihe. Wie bei solchen Schulungen oftmals üblich wurde wohl erwartet, dass man sich den Arbeitsplatz mit einer zweiten Person teilte, da rechts und links von jedem Arbeitsplatz ein Ordner mit den Schulungsunterlagen platziert war. Da es bereits 10 Minuten vor 9 Uhr war, waren die meisten Plätze bereits mit einer oder zwei Personen besetzt und so entschied sich Tina für den letzten noch freien Bildschirm in der letzten Reihe nachdem sie noch schnell ein “Guten Morgen” in die Runde geworfen hatte. Tina fand den Platz in der letzten Reihe sogar sehr praktisch, da sie von hier aus einen wunderbaren Überblick über die restlichen Kursteilnehmer hatte. Nachdem sie Ihre Blicke etwas durch den Raum hatte schweifen lassen musste sie allerdings enttäuscht feststellen, dass sie sich ihre Hoffnung mit der netten Bekanntschaft wohl gleich wieder abschminken durfte. Die Teilnehmer waren zum Großteil schon älteren Semesters und die beiden Männer die vom Alter her noch in Frage gekommen wären hatten einen beachtlichen Bauch und waren zudem nicht gerade geschmackvoll gekleidet. “Na gut… dann kann ich mich wenigstens auf die Schulung konzentrieren anstatt hier jemanden ständig anschmachten zu müssen” dachte sich Tina und begann ein wenig in den Schulungsunterlagen zu blättern.

Gerade artvin escort als Tina wieder von ihrem Ordner aufsah um einen Blick auf die über der Tür hängende Uhr zu werfen betrat eine weiter Person den Raum. Es handelte sich um eine Frau die dem ersten Eindruck nach etwa in Tinas Alter sein musste. Sie war leger mit Sportschuhen, Jeans und Pulli bekleidet und hatte glänzende, schwarze schulterlange Haare mit denen sie wahrscheinlich von jedem Shampoohersteller mit Kusshand als Werbefigur verpflichtet worden wäre. Was Tina aber wirklich beeindruckte waren ihre Augen, denn selbst auf die Entfernung von einigen Metern zur Tür konnte Tina deutlich diese intensive und strahlende blaue Farbe erkennen als die Unbekannte den Raum musterte so wie es Tina vor einigen Minuten selbst getan hatte. Belustigt bemerkte Tina wie die männlichen Besucher einer nach dem anderen zur Tür blickten und sie konnte sich lebhaft vorstellen, dass jeder Mann der noch einen freien Platz neben sich hatte inbrünstig hoffte, dass dieses schöne Wesen sich doch neben ihn setzen möge. Die Unbekannte musterte die Reihen bis Ihre Blicke schließlich mit denen von Tina zusammen trafen und sich die beiden Frauen auf die Entfernung von einigen Metern in die Augen sahen. Dieser Augenkontakt dauerte für nur für winzige Augeblicke die Tina aber seltsamerweise viel länger vorkamen bis die Unbekannte schließlich kurz lächelte und sich dann in Tinas Richtung in Bewegung setzte.

“Hallo ich bin die Sandra, ist der Platz neben Dir zufällig noch frei??”

“Ja klar nimm ruhig Platz, ich bin übrigens die Tina”

Die beiden Frauen gaben sich kurz die Hand und Tina war sehr froh sich den Platz mit jemanden zu teilen mit dem man allem Anschein nach auch mal eine nette Unterhaltung führen konnte und das kein älterer Herr der schon 30 Jahre in der Buchhaltung arbeitete und kein anderes Thema als Monatsabschlüsse kannte neben ihr gelandet war. Als Tina ihre neue Nachbarin neben sich kurz musterte vielen ihr sofort wieder diese unglaublichen Augen auf die jetzt auf die kurze Distanz noch viel intensiver strahlten. Kurz nachdem Sandra Platz genommen hatte begann auch schon der Unterricht und die beiden machten sich konzentriert an die Arbeit.

Nach 2 Stunden folgte die erste Kaffeepause und die ganze Gruppe versorgte sich mit kostenlosen Kaffee und Tee und machte es sich im kleinen Pausenraum des Unternehmens gemütlich. Tina war froh endlich einen schönen schwarzen Kaffee zu bekommen und auch Sandra die sich einem Tisch mit ihr teilte schien alles andere als fit zu sein. “Musstest Du heute auch schon so früh aufbrechen?”

“Oh das kannst Du laut sagen! Da unser einziger Firmenwagen kurzfristig nicht verfügbar war und unser Chef es aus versicherungstechnischen Gründen nicht so gerne sieht wenn wir für so was den Privatwagen nutzen durfte ich glatt den Zug von München bis hierher nehmen. Zum Glück hatte der wenigstens keine Verspätung sonst ich hätte ich das nie rechtzeitig geschafft.”

“Na da hast Du aber einen strengen Chef gab es keine Möglichkeit ihn zu überreden oder hast Du kein so tolles Verhältnis zu ihm?”

“Oh, mein Verhältnis zu ihm könnte kaum besser sein, er ist schließlich mein Bruder aber gerade deshalb achten wir sehr genau darauf das für mich keine extra Würste gebraten werden. Das führt sonst nur unnötig zu Neid in der Firma”.

Die Beiden unterhielten sich während der restlichen Pause noch angeregt weiter und Tina fand heraus, dass Sandra wie vermutet tatsächlich gerade mal 3 Monate jünger war als sie selbst. Die Beiden lagen von der ersten Sekunde an auf einer Wellenlänge und somit hatte sich für Tina doch noch alles zum Guten gewendet wenn es schon mit der männlichen Bekanntschaft offensichtlich nichts werden würde, so hatte sie hier doch eine super nette Freundin getroffen und sie war sich sicher, dass die nächsten Tage wie im Flug vergehen würden. Zur Mittagszeit ging die ganze Gruppe in ein Nahe gelegenes Restaurant und nach der Nachmittagssession war der erste Schulungstag auch schon bald beendet. Da Sandra direkt von Bahnhof in das Seminar gekommen war half ihr Tina natürlich die Sachen ins Hotel zu tragen, da alle Seminarteilnehmer von der Unternehmensberatung im gleichen Hotel eingebucht wurden.

“Warst Du schonmal im Schwabenbräu Sandra?”

“Nein ich hatte noch nicht das Vergnügen, ich war zwar schonmal hier auf Schulung aber da war ich in einem anderen Hotel gebucht.”

“Also ich finde das Hotel sehr schön” sagte Tina die sich schon diebisch auf das Schauspiel freute wenn Sandra auf die nette Dame an der Rezeption traf.

Am Hotel angekommen meldete sich Sandra an der Rezeption und musste sich erstmal ein “Da hätten sie aber auch mal Bescheid geben können das Sie erst Abends einchecken. Beim nächtens Mal vergebe ich das Zimmer spätestens um 15 Uhr an jemand anderen” um die Ohren hauen lassen. Tina wäre beinahe lachend zusammen gebrochen als sie sah wie Sandra vor Überraschung über die nette Begrüßung die Gesichtszüge entgleisten und ihr die Kinnlade runter klappte. “Ich wette Du bist noch nie so nett in einem Hotel empfangen worden, aber ich kann Dich trösten die Zimmer sind eigentlich ganz nett und von dem Essen und dem selbstgebrauten Bier haben meine Kollegen noch lange geschwärmt. So lange Du nichts von der Rezeption brauchst lässt es sich hier durchaus gut leben” beruhigte sie Tina als sie auf den Weg zum Aufzug waren. Sandra hatte ebenfalls ein Zimmer im zweiten Stock zugeteilt bodrum escort bekommen und beide stellten mit Überraschung fest, dass es sich um das Zimmer genau neben Tinas Zimmer handelte. “Die Gruppe trifft sich um 18.30 unten im Frühstücksraum und wir gehen dann mit der Kursleitung zum Abendessen, das ist hier am ersten Abend so üblich. Du kommst doch auch mit Tina??”

“Na klar bin ich dabei!! Ich muss meinen Koffer auch noch schnell ausräumen und mich frisch machen aber bis 18.30 schaffe ich das locker.” Die beiden verabschiedeten sich mit einer kurzen Umarmung und verschwanden auf ihre Zimmer. Wie angekündigt machte sich Tina zuerst über ihren Koffer her bevor sie eine kurze Dusche nahm und dann pünktlich um 18.30 am Treffpunkt landete. Sandra wartete bereits dort und empfing Tina mit einem Lächeln bei dem ihre blauen Augen die einen wahnsinnigen Kontrast zu ihren schwarzen Haaren bildeten freudig funkelten. Die Gruppe machte sich auf den Weg in ein Restaurant welches der Kursleiter ausgesucht hatte und erntete dabei missmutige Blicke der Dame an der Rezeption die offensichtlich gar nicht erfreut darüber war, dass ihre Gäste ein auswärtiges Restaurant aufsuchten anstatt ihr Geld im Schwabenbräu zu investieren.

Im Restaurant angekommen nahmen Sandra und Tina gegenüberliegende Plätze am Rand der Gruppe ein und waren bald schon wieder so in ihre Unterhaltung vertieft, dass sie von den Gesprächsthemen der restlichen Gruppe gar nichts mehr mitbekamen. Wie Tina erfuhr war auch Sandra schon längere Zeit Single schien aber laut ihrer Aussage im Moment nicht wirklich auf der Suche nach einem neuen Partner zu sein.

“Ach komm Sandra das glaube ich Dir jetzt nicht, bei deinem Aussehen kannst Du dir die Typen doch aussuchen. Ich bin mir jedenfalls sicher, dass ich eines Tages eine richtige Familie mit Mann, Kind, Hund und dem ganzen anderen altmodischen Zeug haben möchte. Reizt Dich der Gedanke denn gar nicht?”

“Also das mit der altmodischen Familie wir bei mir wohl nichts werden” war alles was Sandra ihr darauf antwortete und an der Art wie Sandra diesen Satz aussprach merkte Tina das sie da wohl einen wunden Punkt bei Sandra getroffen hatte. Tina verfluchte sich mal wieder für ihre seltene Gabe bei solchen Gesprächen zielsicher ins Fettnäpfchen zu treten und immer Themen zur Sprache zu bringen die ihren Gesprächspartnern aus welchen Gründen auch immer unangenehm waren. “Na das hast Du ja wieder toll hinbekommen… ” dachte sie bei sich während sie das Gespräch unauffällig auf ein anderes Thema lenkte.

Als der Abend zu Ende ging und sich die Gruppe so langsam wieder in Richtung Hotel aufmachte hatte Tina das Gefühl Sandra schon seit Jahren zu kennen und die beiden liefen wie zwei gute alte Freundinnen Arm in Arm hinter der Gruppe hinterher. Es interessierte Tina natürlich schon brennend warum Sandra beim Thema Familie so seltsam reagiert hatte, aber sie war sich sicher das im Lauf der nächsten Tage noch genug Gelegenheit sein würde dies zu ergründen. Vor den Zimmern angekommen umarmten sich die beiden noch herzlich gaben sich gegenseitig einen freundschaftlichen Kuss auf die Wange und wünschten sich eine gute Nacht. Bald darauf kuschelte sich Tina wie bei ihr üblich splitternackt ins Bett aber obwohl sie todmüde war konnte trotzdem nicht von ihrer schlechten Angewohnheit lassen vor dem Einschlafen immer noch ein paar Minuten fern zu sehen. Sie zappte sich gelangweilt durch die Kanäle des kleinen Fernsehers der auf einer Kommode an der dem Bett gegenüberliegenden Wand stand, als sie plötzlich durch die Wand aus Sandras Zimmer leise Stimmen hörte.

“Nanu hat sie etwa noch Besuch bekommen?? Sie wollte doch auch gleich ins Bett hüpfen” dachte sich Tina die den Stimmen noch etwas lauschte. Als ihr die Erleuchtung kam schlug sich Tina mit der flachen Hand gegen die Stirn…Ohhh.. Du dumme Pute.. wenn ihr Zimmer ebenso aufgebaut ist wie meines dann steht hinter dieser Wand an der Kopfseite meines Bettes natürlich ebenfalls eine Kommode mit Fernseher drauf. Sie schaut ganz einfach auch noch ein wenig in die Glotze genau wie Du auch. Tina wollte gerade die Lautstärke ihres eigenen Fernsehers wieder aufdrehen als die Stimmen plötzlich durch leises Stöhnen abgelöst wurden. Tina nahm sofort wieder den Finger von der Fernbedienung und rückte mit ihrem Ohr etwas näher an die Wand heran. Der Fernseher in Sandras Zimmer war offensichtlich recht leise gedreht, deshalb konnte Tina die Stimmen nur sehr undeutlich hören, aber es war doch eindeutig zu erkennen, dass es sich um leises Stöhnen mehrerer Personen handelte. “Na so was wenn mich nicht alles täuscht dann zieht sich meine liebe Sandra da drüben als Betthupferl gerade noch einen Porno aus dem Pay TV rein.” Tinas Finger schwebten über der Fernbedienung und sie war mächtig in Versuchung ebenfalls auf die Pay TV Kanäle zu wechseln um zu sehen ob sich die Geräusche von drüben mit dem aktuellen Programm deckten und somit auch den letzten Zweifel zu beseitigen. Aber da sie ihre Hotelrechnung später für die Reisekostenabrechnung einreichen würde müssen wollte sie eigentlich keine Rechnungsposition PAY TV auf ihrer Rechnung haben. Sie konnte sich lebhaft vorstellen, dass sie ihre Kollegen sie damit noch monatelang hochnehmen würden. So legte Tina die Fernbedienung wieder zur Seite und konzentrierte sich stattdessen wieder auf die Geräusche von nebenan. Tina hatte schon während ihrer Studienzeit festgestellt, dass in ihr wohl eine voyeuristische Ader schlummern müsse, denn schon damals hatte sie einfach nicht widerstehen können den diversen Geräuschen zu lauschen die durch die papierdünnen Wände des Studentenwohnheims in ihr Zimmer drangen. Und wie man sich vorstellen kann gab es in einem Wohnblock voller Studenten immer eine Menge zu hören…

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The New Manager Pt. 03

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When I caught up with the new girl, she was still working in the first room. The plug pressed obnoxiously on my insides as I made my way to her. I moved the wrong way and flinched as a strange yet exciting feeling sent shivers up my spine. I felt my panties sticking to my pussy. The plug was making me uncontrollably wet.

“Are you OK?” The new girl asked giving me a twisted look.

I put a hand on the nearby dresser to steady myself. “I’m fine,” I told her through gritted teeth. “What else do we need to do in here?”

“You look like you’re in pain,” she said stupidly. “Is there anything I can do for you?”

“You can pull this chunk of metal out of my ass!” I thought to myself.

“No,” I persisted, “I’m fine, let’s just finish this room.”

“Okay,” she said and she got back to work. I watched her as she went about it and I couldn’t help but notice how fuckable her tight little body was. My pussy began to ache with desire as I dreamt about making this little bitch choke on my panties while I ground my pussy into hers. I found myself wishing she’d pull this thing out of me with her teeth and replace it with her tongue.

Her legs were long, and her ass was tight. Her breasts weren’t big, but they were round and perky. She had thousands of freckles across her complexion and thick red hair that hung past her shoulders. She was slender and cute and I wanted nothing more than to wreck her.

The feeling to touch myself, became overwhelming. I straightened and made my way to the bathroom door, slamming it shut behind me. I peeled my leggings down and immediately slid my fingers over my glistening clit. I felt the sensation down to my toes. I couldn’t believe how wet I was. My panties were almost Soaked through. I slid my fingers inside myself and felt so full that I almost came. I could feel the plug pressing against my fingers as I slid them in and out of myself.

Curiously, I pressed down on the bulge inside of me and I let out an uncontrollable whimper as my whole body tingled. I was ready to cum harder than I have ever cum before, when I heard a knock on the door.

“Are you sure you don’t need anything?” She asked nervously.

I tasted myself still not believing how wet I was. “Are the beds done yet?” I asked her.

I cleaned myself up and grabbed the towels from the bathroom floor and opened the door. She was standing there with her arms crossed, biting her thumbnail nervously. “I just need your help making the beds.”

I rolled my eyes and carefully walked out to help her with the beds. As we folded the sheets and put the pillows back on, I remembered a game we all used to play to try and get the work done quicker.

“I have an idea,” I smiled. ” You do the next single bedroom and I’ll do the next double. Winner gets to give the loser a dare.”

She looked at me, mortified. She didn’t want to do it, but to my surprise, she nodded and said, “um okay.”

“It’ll be fun,” I promised her. ” We used to do it with all the new girls to help them get better.”

We went our separate ways. I hurried through my room and cut all the corners that I knew I could cut the plug slowed me down, but I was able to keep myself distracted, thinking about how I was going to punish her.

I walked into her room and Without saying a word, I helped her finish. I found it easier to move the more I got used to the feeling of the plug Inside me. When we were done, she looked at me. “I guess you won,” she said quietly. “What’s my dare?”

“It’s easy,” I assured her. ” You need to do the next room topless.” I shrugged like it was no big deal.

She looked at me with headlights for eyes. She folded her arms nervously and chewed on her thumb again as she thought about.

I looked at her playfully, “oh come on, you’re not about to back out now, are you. You lost it’s only fair.”

She swallowed hard and looked at me. “No no of course not,” she was clearly having a panic attack.

“Come on,” I said with a laugh I grabbed her by the hand and led her to the next room. I closed the aksaray escort door and put the locks on so no one could come in. “Okay take it off,”

She looked at me and chewed on her thumb. Her arms were crossed tight over her chest making her tits look bigger.

“Oh my god,” I said as I rolled my eyes. I grabbed my shirt and ripped it off. “They’re just tits we both have them.”

She gawked at my large breasts with her mouth agape. I cupped them and squeezed them gently. “They’re not bad, right?”

Her trance broke and she looked towards my eyes. “They’re really big.” She looked at them again, sighed and pulled her shirt off timidly. Her stomach was flat and pale and her breasts swelled past her white bra.

She unhooked her bra and let it slide down her arms. Her tits tiny and erect, perfect little erasers. I reached out and grabbed one between my thumb and forefinger. I squeezed and pulled gently before she recoiled and covered them with her arms.

“Hey!” She laughed “they’re sensitive.”

“You have the cutest little nipples!” I teased. I moved her arms and she only resisted a little bit. With her breasts exposed I grabbed her nipple again and watched as she bit her lip. I let go of her and cupped my own again. She was staring at them again. “You can touch mine if you’d like.”

She reached a hand out timidly and put it on my chest. She squeezed my breast gently and let go quickly. I rolled my eyes and groaned at her. I grabbed both her arms and thrust them onto my breasts. I held her wrists in place a moment as she began to dig her hands into me. My toes curled as she caressed my tits and ran her hands under them and lifted them.

I began to touch and caress hers again and she let out a soft moan as I did. Her eyes got wide and she let go of me and covered her mouth with both hands. “I’m sorry!” She said.

I just laughed and squeezed her soft tits harder. She whimpered and squinted her eyes. “Does that feel good?” I asked playfully.

She shrugged, “a little,” her voice was small and embarrassed.

I grabbed her arms and pulled her closer, I bet you’ll love this then,” I said quietly as I brought her erect nipple to my mouth. I sunk my teeth into it gently and sucked on it as I licked it with my tongue.

She moaned and shuddered and then quickly pulled away, covering herself again. “We shouldn’t,” she breathed heavily. “We have to clean.”

I scrunched my nose at her, “have you never been with another girl?”

She looked embarrassed. “Nooo,” she said as if it was such a crazy thing to ask. “Have you!?”

“Of course!” I said. “Come here,” I led her over to the bed and sat her down on the edge. The plug reminded me of its presence as I moved and my knees wobbled a little.

With her on the bed in front of me I put my arms on her shoulders and ran my fingers through her hair. I gently rocked her shoulders as I eased her towards my chest. “Go on,” I whispered, “try it.”

She looked up at me with large eyes as her mouth found my breast. She was nervous and bashful and that made my pussy tingle. Her mouth explored my breast sucking gently. To my surprise I felt her hands slide slowly along the sides of my breasts as she buried herself in my chest.

I gently scratched at her bare shoulders and worked down her soft arms. I leaned into her and reached low. My fingers found their thighs and slipped between her legs. I put pressure on her pussy through her leggings and she jumped. She pulled away from my breasts and looked up at me, terrified. I didn’t give her a chance, I locked my mouth onto hers and forced my tongue into her mouth.

I felt her tongue twist with mine as she relaxed into my hand. Her hips began to gyrate against my intrusive massaging.

Our lips slid against each other as our mouths opened and closed. I gripped the waist of her leggings and pulled them down past her ass. She yelped and pulled away from me as I yanked her legs in the air as her shoes went flying and her leggings slid past her feet.

“Someone could amasya escort walk in,” she panted, as I separated her wet panties from the leggings. “We shouldn’t!”

I pinched her panties and held them up for her to see. “These tell a different story,” I said raising an eyebrow. I held them to my nose and inhaled. Her scent was potent and made my mouth salivate.

“What if we get-” I balled the panties up and stuffed them in her mouth before she could finish another word. Her eyes were wide and full of fear as I held my hand over her stuffed mouth.

I grabbed her ankles and raised them over her head and she rolled back willingly. I knelt before her and ran my tongue along her wet slit. She whimpered through the panties in her mouth and her small body shuddered. I licked her slowly, taking her sweet flavor in. I realized I was enjoying the taste more than focusing on pleasuring her. I slid my tongue deep between her lips and ran in up to her clit. Her body tensed when I hit her sensitive spot.

She moaned and whined against the panties. I touched myself and was shocked at how wet I was. I felt an uncontrollable urge to just devour her. I let go and buried my mouth into her pussy. I jumped back and forth, up and down her as she shook and twisted. I fingered myself as my tongue pushed inside of her. Her flavor was unique and clean and I couldn’t get enough. Her hips began to thrust as she screamed into the panties. I slid my tongue down past her pussy to her tight little ass. Her screams became higher and a little confused as I licked back up to her clit an down again. She yelped repeatedly as she came into my mouth.

I stood up and put my hand over her stuffed mouth as my other hand began to rapidly rub her swollen clit. “Cum for me baby,” I said wickedly. “Let it all go,” I demanded.

Her brow furrowed, as her eyes filled with terror. She shook her head and pleaded through the panties as I sped up and pressed harder against her clit. Her toes curled and her legs bent and then straitened as her whole body quivered she thrust her hips one last time. she locked her legs around me and held me as she shook. She came hard and panted heavily through her nose as she whimpered repeatedly.

I removed my hand from her pussy and began to lick her from my fingers while I stared into her eyes. She looked back at me lustfully as I removed her panties from her mouth. I wiped them against her wet pussy, soaking up her sweet juices. Little bits at a time I began to push the panties deeper into her. She moaned and flinched with each push, but never once resisted. When they were mostly inside her I stopped and let her taste herself on my fingers.

She sat up and nervously grabbed my waistband. I grabbed her hands and pushed them down, removing my remaining clothes. She looked at me taking in my naked body. I put a leg up on the bed next to her and pulled her face into my aching pussy. She obeyed and began to eagerly lick the wetness from my lips. Her curious hands explored my legs as she buried her face in my pussy. She grabbed my ass and pulled me tighter to her. Her technique was terrible and inexperienced but it still felt good. Her hands slid between my legs and brushed past the plug. She stopped suddenly went back to the object stuck inside of me and fingered it curiously.

She pulled at it gently and I flinched and moaned. The peculiar feeling was so unexpectedly arousing. She looked up at me with a half a smile. “Are you wearing a-“

“Yes,” I moaned as I pushed her face back into my pussy. She was obedient and went back to work.

I let out a sigh of relief as she found my clit and began to focus on that. I bucked my hips into her face as her hands squeezed and massaged my plump ass. She wandered back to the plug and tugged on it. I yelped and my pussy clenched. She grabbed the plug and began to rotate it slowly. The sensation was unexpected and made my knees weak. My legs shook and I had to use her for balance. She began to tug and push on the plug becoming more and more curious of antalya escort it.

I felt her other fingers enter me cautiously. She pressed on the plug from inside of me as she continued to move it in my ass. It all happened so fast. I fell into her, losing control of my body as I began to squirt violently. She grabbed my ass with both her hands and held my pussy on her face as I came harder then ever before.

I uncontrollably emptied my bladder into her mouth and down her bare chest as my body tried to regain control. I saw her face looking up at me. Her tongue between her smiling teeth. We slid down to the floor her on the bottom and me sitting on her lap with my tits against hers, drenched in all my fluids. Our bodies slid together from the excess wetness as we began to make out again.

We kissed passionately for several minutes and I was shocked at how good the intimacy felt after such an intense orgasm. Our body’s were warm and dripping in my fluids as I slid up and down kissing her deeply.

After a while we collapsed into an embrace. I knew we needed to get moving before someone found us like this but I had no urge to leave this puddle.

She was the first to break the silence. “Do you always wear a plug to work, or was today just my lucky day?”

After that orgasm, I might be wearing one every day, I thought. “It’s a funny story actually,” I began.

She was excited now, “I get to pull it out!?” She asked after I finished my explanation.

I tugged gently at the panties still inside of her and she bit her lip. “No, you HAVE to pull it out,” I corrected. She reached for it quickly and I moved my ass away from her. “No, no,” I said panicked. “It isn’t going to come out easily.”

I stood up and reached for her hands. I grabbed them and helped her up. We stood nose to nose with our naked bodies glistening as I slid a thumb in her mouth and tugged her panties free from her pussy. “These are mine now by the way,” I told her as I held them to my nose.

She bit her lip and did not protest. I grabbed our clothes and led her into the bathroom. I started the shower and got everything ready as she watched me eagerly. “We need to be quick, and careful that we don’t get our hair too wet.”

I handed her a bottle of lotion and turned and laid my chest on the sink. I spread my legs and lifted my ass as high as I could. She ran a warm hand along my slit as she pulled herself close to me. I felt a quiver run through me as she touched me. The lotion spilt onto my asshole as she began to work it in gently around the plug. I could feel she was curious and eager to play with my ass.

“Nice and slow,” I reminded her. “This isn’t a bandaid.”

She began to pull and I felt her rub more lube into my ass as she slowly increased the pressure. I moaned and gritted my teeth as the lump moved out of me. She was perfect and continued to keep me covered in lotion. With a sudden pop the pressure was gone and strangely my ass felt empty, but only for a moment. Her finger quickly found its way in there and she started exploring.

I sat up suddenly, surprised by the action. “Sorry” she said as she put a hand on my heavy breast. She worked her finger deeper into my already stretched back door. “It’s just so sexy I needed to be in you.”

I had to admit, it felt really good feeling her slipping in and out of my ass as she groped my chest and breathed heavily in my ear. When she had her fill she pulled it out and we got in the shower. We had to resist touching each other as little as possible as we cleaned up. The urges could not be stopped though and before long we were knuckles deep in each other again. We both came one last time before the shower was done.

As we got dressed she held up the plug and tried to hand it to me. “I believe this is yours.”

“I wish it was so I could put it in your ass,” I told her with flirtatious smile. “But I’m not allowed to touch that. You have to return that too Mia.”

Fear washed over her. “What!? How do I do that?!”

“Just tell her you want to talk to her in private at the end of the day.” I explained.

She was nervous and I found that to be such a turn on. As she walked to the next room I unrolled her panties from the waist band of my leggings and inhaled them as my own panties began to moisten again.

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Captions

Here’s the story about David and my first bisexual encounter. I’ve exaggerated some, but it’s basically true.

We were with couple named Rick and Jennifer. They had invited us over to Rick’s parent’s house who were gone on vacation. We had been camping with Rick and Jen a couple of times and had always found a secluded place to go skinny-dipping which David and I really enjoyed. Both Rick and Jen were very attractive and these naked encounters with them had become fuel for many many fantasies for us. David and I had had a few frank discussions about sex and both admitted to having fantasies about bi-sex. I’d only experienced a few light petting experiences with a girl friend of mine. David had participated in a few circle jerks with friends in college and one guy had even sucked his cock but that was all.

We didn’t think that Rick and Jen were thinking about us in the same way. Yet, Rick was always pretty open about displaying himself in front of us as though he liked to show off. And Jen was very affectionate with both of us, always hugging us both and was very expressive with her hands. That, I’m sure is what turned me on about our friends.

Anyway, Rick’s parents had a big house in the foothills that had a beautiful secluded pool. Naturally, it wasn’t long before we all were naked and enjoying the pool and the sun. We were drinking wine coolers and frolicking around in the pool, playing games that naturally brought about quite a bit of physical contact. It wasn’t long before I was really feeling very horny. After a while, Jen and I got out to sun on lounge chairs.

As we lay there, I noticed Jen kind of staring at me and when I looked over, she laughed as she said how much fun it was to have us over. I’m sure I was blushing as all I could think of to say that we loved being there.

Rick and David had gotten out of the pool and were messing around with the pool filter and stuff. They both had mild hard-ons that both Jen and I both noticed. David has a football players build and a better than average 7″ cock. Rick was only slightly longer, but was also thicker. His lean build made his cock only stand out more.

Jen made a comment to me about palandöken escort how handsome and well built David was and I returned the compliment saying that I thought Rick was, well, a real hunk. Oh, was I ever feeling hot as I admired Jen’s beautiful body. She suggested we go inside and refresh the pitcher. I gladly followed her. As soon as we were inside, she turned to me and gave me one of her usual friendly hugs saying again how nice it was that we were there. Well that did it and I practically melted in her arms. I squeezed her tighter and then she kissed me. It was a light lingering kiss as though she were testing to see if I were feeling the same as she was. I must have moaned my approval because Jen then kissed me harder.

It was like a dream as Jen kissed me with more passion and we both began running our hands up and down each others bodies. She finally broke it off and smiling at me she led me over to the couch. As we sat down and we looked into each others eyes, she told me how beautiful she thought I was and we began kissing once again. Her soft kisses and even softer skin against my body had me almost writhing with the passion this moment made me feel. We kissed and embraced for at least ten minutes and soon I felt her hand on my pussy. I was very wet and as she rubbed her fingers in my wetness I felt the fire of my first orgasm. I touched her pussy lightly and soon had a finger lingering between her labia. She soon moaned and thrust her tongue deep into my mouth as I think she came as well.

We continued a slow passionate kiss when the guys decided to come in. Boy, were they ever treated to a sight. As we looked up at David and Rick, they both had grins a mile wide that showed their obvious approval of the situation. Rick started fondling himself as he blurted out something about how hot we girls were. David, noticing Rick playing with himself was soon doing the same as Jen then whispered to me that she had to taste me. She gave me a quick kiss and then she ran her tongue down my neck and began licking and sucking my breasts. It felt so wonderful. I love it when David suckles my breasts but Jen’s soft kisses had me on fire. pamukkale escort Soon, I was treated to an even more wonderful feeling as Jen ran her tongue down my belly and on down to my pussy. I’ve never felt such a beautiful feeling before as Jen lovingly caressed me with her tongue.

Rick and David decided to join us and soon I had David on my left kissing me and Rick on my right feeling my tits. I took hold of Rick’s cock in one hand and David’s in the other and did my best to try and give them a decent hand job but this was impossible with Jen giving me so much pleasure down below. She was alternately sticking her tongue inside me and flicking up to caress my clit. My pussy felt like it was on fire. David then went down and took my left nipple in his mouth. He sucked hard and it felt so good. I concentrated on jerking off Rick and I could feel some of his pre-cum lubricating my fingers. I rubbed his penis on my right breast and David, seeing this, stopped sucking me and stared at Rick’s cock.

I wondered what Rick thought of this and I looked up to see him smiling and pushed his hips forward obviously enjoying the whole thing. Jen barely stopped her licking as she looked up to see what was happening and said,”Go for it guys!” I looked at David and could see plain lust in his eyes. And, thank god, Rick broke the ice and said something like, “Hey, Dave, I’ve seen you staring at my cock, why don’t you help me out, here?” David still staring, face flushed red, licked his lips and all I could do was mutter, “Oh yes!” David tentatively leaned over, took hold of Rick’s cock in his hand and jerked up and down as he continued to stare down at Rick’s hardness. Then, he leaned down, flicked his tongue over the tip, and then took nearly half of Rick’s cock into his mouth. Watching Rick’s smooth shaft disappear into David’s mouth put me over the edge and I held Jen’s head firmly against me as she brought me to a thundering climax.

By the time I calmed down, David was bobbing up and down and obviously enjoying the taste and feel of his first cock. Jen traced her tongue up my belly and then watched Rick get sucked off. She smiled at me and I smiled pazarcık escort back. She pulled me down toward the floor and I slithered off the couch causing David to pull up from Rick. But as soon as I was on the floor in a wonderful embrace with Jen, David was back at that cock with wild abandon.

The pace quickened as Rick pumped his hips back and forth and David did his best to keep Rick in his mouth. Jen kissed me on the ear and whispered to me how hot she thought this was and I could only muster an agreeable moan. This must have set Rick off because he soon was warning David that he was going to shoot. That, to my surprise, only made David suck more. I wasn’t sure if David would swallow at first, but it wasn’t long before that question was answered as Rick pumped and groaning and I saw David’s eyes become wide open as Rick was obvious shooting off in his mouth. Pretty soon, cum dribbled out the corner of his lips and I had another climax just watching all of this.

My whole body felt like it was on fire and I decided I just had to taste Jen. I held her and pushed her down on the floor and got on top of her. Her smooth skin felt so wonderful against mine. I kissed her and stuck my tongue deep into her mouth. She sucked my tongue wetly and this made me even hotter. I began to trace kisses down her chin and her neck and soon was thrilled to have one of her beautiful nipples in my mouth. I savored it for several seconds, then found the other tit and did the same. Oh yes, this was such a magnificent feeling.

Down further I slid again tracing kisses down her belly and then I reached her furry mound. I wasn’t sure what to expect, but when I tasted her sweetness for the first time, it was like it was intoxicating.

I thought of how David pleasured me when he went down on me and tried to do to Jen what I always loved David doing to me. I stuck my tongue deep inside her and then moved up to twirl around her clitoris with my tongue. I remember marveling in this new found feeling and how much I was enjoying my first taste of a woman. I began to lick and suck and tongue more quickly and soon I was rewarded with the wonderful experience of Jen’s climax. I was so happy that I had gotten Jen to have a wonderful orgasm. I kissed my way back up her body and we shared another passionate kiss before falling off in exhaustion.

Soon, everyone was drained and a swim was in order. We spent a wonderful weekend trying all phases of bisexuality.

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Babes

Dans un cinq étoiles à deux pas des Pyramides, je m’attendais à plus de retenue. Il faut dire que Marie-Florence, Marie-Flo pour les intimes, a des formes voluptueuses comme on disait dans les romans érotiques des années 60, en clair de bons gros seins lourds, 95 E pour ceux qui aiment les chiffres, la taille fine et une croupe de salope. Le tout sous un visage ovale ravissant encadré d’une chevelure aile de corbeau tombant en cascade sur des épaules larges et bien dessinées. À 33 ans, ma femme est canon, je le sais, mais l’aurais-je oublié que les yeux des hommes à son passage me le rappelleraient illico. Dehors, nous avons bien pris garde de nous habiller convenablement, enfin surtout elle, mais dans l’enceinte de l’hôtel, il lui a semblé normal de s’habiller comme elle l’aurait fait en France : après tout, on ne va pas à la piscine habillé! Surtout quand il fait plus de 25° dehors par ce joli mois d’octobre. Peu de touristes d’ailleurs, nous avons l’hôtel pour nous tous seuls ou presque. Les gens ont peur des émeutes et de l’insécurité, mais du coup nous avons eu des prix canons, c’est le cas de le dire. Marie-Flo a pris l’habitude d’aller nager tôt le matin et tard le soir tandis que nous nous promenons en journée. Moi, je suis en peu plus paresseux. Mais quand je la rejoins dans la piscine, à chaque fois je vois les regards exorbités des serveurs. J’en ai même vu un qui se touchait discrètement l’entrejambe en se croyant planqué dans son local technique. En trois jours ma femme est devenue l’attraction du personnel à tel point que je prends un plaisir coupable à voir le type qui vient retaper les lits le soir et apporter un petit chocolat, s’incruster plus que de raison pour mater du coin de l’œil.

Marie-Flo se rend compte qu’elle fait de l’effet bien sûr. Elle sait que ca m’excite et ca l’excite aussi d’ailleurs. C’est un jeu un peu exhib que nous ne poussons jamais bien loin d’autant qu’elle est assez snob et méprise allègrement le “petit peuple” comme elle dit. À ses yeux ils sont socialement invisibles et ça l’amuse de les faire triquer parce qu’elle sait très bien qu’elle est protégée par son statut de riche étrangère. Mais hier soir, j’ai trouvé qu’elle poussait le bouchon. J’avais appelé une heure plus tôt pour qu’on vienne changer une ampoule mais le type n’arrivait pas ; je m’impatientais parce que j’avais envie d’aller m’acheter des cigares et Marie Jo était encore sous la douche. Bref, je me sentais obligé d’attendre. Evidemment c’est au moment où Marie-Flo est sortie de la douche, qu’on a frappé à la porte du bungalow. Elle s’est emparée d’une serviette en soupirant et j’ai ouvert à un petit gros moustachu qui est entré en se confondant en courbettes tout en regardant ma femme comme s’il avait vu une assiette de loukoums. Marie-Flo a vaguement resserré la serviette pour masquer ses nibards et son cul mais il faut dire que vu ses formes, c’était voué à l’échec. Elle est repartie dans la salle de bain et Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui ai dit:

– Chérie, je reviens tout de suite!

J’ai indiqué à l’homme la lampe de chevet à changer. Puis je suis sorti et mû par une impulsion perverse, je suis allé dans l’ombre du jardin pour m’y planquer quelques instants. Par la porte fenêtre restée entrouverte derrière le rideau qui était mal fermé, j’ai vu que le type changeait l’ampoule puis appelait ma femme pour lui indiquer que cela marchait. Marie-Flo est sortie de la salle de bain toujours avec sa serviette, mais elle s’est mise à fouiller dans son sac pour lui donner un pourboire. Ce faisant, et comme si elle n’y prenait pas garde, la serviette a glissé et laissé apparaître un de ses magnifiques nichons. Marie-Flo s’est vite retournée pour remonter la serviette sur ses seins, mais en montrant alors son beau cul cambré. Le type avait les yeux qui sortaient de leurs orbites comme dans un dessin animé!

Elle n’a pas semblé y prendre garde et lui a filé un pourboire. La bouche ouverte, il a grogné un remerciement avant de sortir hébété. Après avoir refermé la porte, je l’ai vu qui regardait autour de lui comme pour voir si quelqu’un arrivait. Il semblait hésiter, puis tout en se palpant frénétiquement l’entrejambes, il s’est approché de la porte fenetre. Il ne m’a pas vu heureusement car j’aurais eu du mal à expliquer pourquoi je faisais le voyeur, mais j’étais parfaitement placé pour le voir s’installer pour mater ma femme à travers le rideau. Il a soulevé sa djellaba et sorti un gros mandrin qu’il a commencé à astiquer comme un fou. La situation a commencé à me faire bander à mon tour et je me suis mis à me palper. Malencontreusement, en me rapprochant pour essayer de voir à la fois le membre du type et ma femme à poil, j’ai fait craquer une branche : le type s’est retourné et m’a découvert dans cette situation délicate. Il a eu l’air effrayé puis comprenant tout à coup que je le van escort matais en train de mater, il s’est tourné vers moi, son gros membre un peu dégonflé, et m’a fait un sourire édenté assez ignoble en montrant le pouce levé ma femme qui se passait une crème sur le corps. J’ai eu une moue un peu génée, mais je n’ai rien dit. L’homme s’est mis de profil pour que je puisse voir son sexe qui avait repris de la vigueur et s’est remis à se branler en regardant ma femme, assise sur le lit en tailleur, cuisses bien écartées, ses belles mamelles oscillant lentement au rythme de la crème qu’elle appliquait maintenant dessus. Il la regardait comme un animal en rut mais se retournait toujours vers moi en souriant. Après l’avoir contemplé avec fascination, j’ai croisé une dernière fois son regard puis suis rentré dans la chambre. Je me suis dirigé vers Marie-Flo et sans lui dire un mot, j’ai écarté ses cuisses au maximum pour que sa chatte soit face aux rideaux. Puis après l’avoir doigté un instant, j’ai baissé mon froc et fourré ma pine dans sa bouche. Elle a poussé un petit grognement ravi et entrepris de me sucer. Par le rideau j’ai de nouveau croisé le regard du type qui avait la bouche ouverte et continuait de s’astiquer furieusement. J’ai alors entrepris de tourner Marie-Flo sur le lit et l’ai placée en position de levrette parallèlement aux rideaux puis d’un coup me suis enfoncé en elle.. Elle a poussé un petit cri et a entrepris de se caresser le clitoris la tête enfoncée dans les draps De temps en temps je lui claquais le cul tout en regardant du coin de l’œil vers la porte fenêtre Le salaud qui avait écarté le rideau pour mieux voir n’en perdait pas une miette et quand j’ai joui j’ai vu qu’il éjaculait des litres de foutre. Au moment où je me suis retiré de la chatte de ma femme, il avait disparu.

Le lendemain, j’étais un peu gêné et n’avais pas franchement envie de croiser le type et nous sommes partis tôt visiter Le Caire. En fin d’après midi, lorsque nous sommes rentrés, fourbus et contents, c’était déjà le crépuscule. Marie-Flo est allé longuement nager dans la piscine. Je l’ai accompagnée mais suis sorti assez vite pour la regarder. Ma femme m’excite toujours autant après dix ans de mariage et j’adore voir les gouttelettes d’eau ruisseler sur sa poitrine quand elle sort de l’eau. D’autant que ses maillots de bain, en tous cas celui qu’elle porte ce soir est assez minimaliste. J’ai l’impression, mais c’est probablement un fantasme, qu’il y a une atmosphère de stupre autour de cette piscine. Que derrière les palmiers et les arbres de Judée des mateurs s’en donnent à cœur joie. Grand bien leur fasse! Nous nous sommes faits servir deux coupes de champagne puis deux autres. Le crépuscule était exquis.

– Promenons nous, a dit ma femme un peu pompette.

Elle a drapé sur son bikini encore humide un paréo aussi léger que transparent et main dans la main nous avons fait un tour du jardin dont les odeurs étaient enchanteresses. En parvenant à son extrémité ouest, nous avons trouvé le centre de beauté spa que nous avions en vain cherché la veille. On visite? Ai-je proposé à ma femme et nous avons descendu quelques marches éclairées par une lumière bleutée. Le centre était comme enterré sous une grotte de fleurs. En bas, il faisait un peu plus frais mais la température était très agréable et invitait à se dénuder. Derrière un comptoir, une jeune femme souriante habillée d’une blouse blanche nous a souhaité la bienvenue et nous a expliqué dans un anglais parfait la structure de l’ensemble assez vaste composé de huit cabines pour se changer, deux pièces symétriques équipées de tables de massage, un sauna sec et tout au bout d’un joli couloir orné de faiences bleues et vertes, une porte vitrée menant à un joli hammam constitué de deux pièces attenantes, l’une avec un bassin d’eau glacée, l’autre bien plus vaste avec un bassin profond d’un mètre environ d’une eau chaude et vaporeuse. Nous sommes revenus dans la salle ou la jeune femme nous a proposé deux peignoirs d’une blancheur immaculée. Nous sommes allés enfiler nos peignoirs et en ressortant, nous avons eu la surprise de voir la jeune femme nous présenter un plateau avec deux coupes de champagne tandis qu’à ses côtés, souriant et obséquieux, se tenait Un homme, la quarantaine moustachue, avec un gros ventre et des épaules larges, qui s’est présenté comme le « général manager », mais appelez moi Azzam et nous a expliqué dans un français approximatif mais fleuri que ce champagne, offert par l’hôtel à ses clients privilégiés était de coutume pour les clients utilisant le hammam pour la première fois. Il a baisé la main de ma femme avant de prestement prendre la coupe que je m’apprêtais à saisir pour la tendre à ma femme. Cela m’a surpris, d’autant qu’il s’est tourné ensuite vers moi avec un sourire étrange avant de s’incliner comme si j’étais yalova escort le rais en personne. Pendant que nous sirotions son champagne, ma foi assez bon, il a fait un rapide historique des personnalités célèbres ayant fréquenté l’endroit. Le bonhomme était amusant et l’alcool aidant, nous l’avons même trouvé assez drôle ce qui fait que lorsqu’il nous a resservi, nous n’avons pas osé lui refuser ce plaisir.

– Attention, je vais être un peu partie là a dit ma femme en riant. Ce à quoi l’homme a répondu en riant que ce champagne là ne montait pas à la tête. Puis avec une exquise courtoisie, il a pris congé de nous en précisant que nous ne serions pas dérangé et, en quelque sorte, que l’endroit nous serait privatisé ce soir. Nous l’avons remercié bien sûr chaleureusement et nous sommes dirigés vers le sauna. Au moment de rentrer dedans, je me suis retourné et j’ai vu le gros faire un signe à la jeune fille comme s’il lui demandait de partir. Je me suis dit qu’il l’envoyait chercher quelque chose sans m’interroger plus avant.

Nous avons suspendu nos peignoirs à l’entrée du sauna et sommes entrés nos serviettes à la main

– Oh que c’est chaud a dit ma femme en s’étendant voluptueusement sur le banc de bois: si quelqu’un arrive, jette moi ta serviette, a-t-elle ajouté paresseusement avant de se poser sur le ventre, ses magnifiques fesses bombées tournées vers moi. J’ai contemplé le spectacle en commençant à bander mais au moment où je m’apprêtais à m’asseoir près d’elle, j’ai vu un visage apparaître au hublot de la porte. C’était le type de la veille qui avait changé l’ampoule dans notre chambre. Il m’a fait un petit signe avec un sourire vicieux et s’est mis à contempler le cul de ma femme. Je suis resté muet. Puis son visage a disparu au moment où ma femme se retournait vers moi et constatant mon érection m’a dit malicieusement : tu es un obsédé mon chéri.

Tu vas choquer la jeune fille!

Puis elle s’est étirée en disant que l’alcool la rendait un peu chose.

Allons au hammam, c’est trop chaud ici!

Et posant sa serviette autour de ses hanches, elle m’a demandé : passe devant, on ne sait jamais s’il y a quelqu’un, tu me caches!

Lorsque je suis sorti, il n’y avait personne. Nous nous sommes dirigés vers le hammam d’abord vers le bassin d’eau glacée. Ouhh, a fait Marie-Flo, en lâchant sa serviette par terre avant de rentrer dans le bassin, c’est bon, mais c’est froid!

Avec ses tétons tous durs, elle était absolument magnifique. J’ai regardé d’un œil inquiet vers l’entrée mais personne ne regardait. Avais-je fantasmé la présence du serveur? Pendant que je me posais la question, Marie-Flo avait pénétré dans le hammam proprement dit.

Je l’ai suivi tout en m’interrogeant sur ce comportement inhabituel de ma femme. Nous nous sommes d’abord promené autour du bassin dans les vapeurs parfumées à l’eucalyptus

– Hummmm, j’adore a dit Marie-Flo. Tu sais mon chéri je me sens bizarre, bien, mais bizarre, c’est le jetlag probablement a-t-elle dit en éclatant de rire. Et j’ai bien envie que tu me baises! Je me sens hyper chaude, bizarre, mais hyper chaude;

– Oh, il faut pas oublier la fille de l’entrée, attendons d’être dans la chambre

– Tu fais ton timide? C’est pas ton genre pourtant, a rétorqué ma femme mutine en se tournant vers moi et prenant ses grosses loches à pleine main pour en lécher les tétons tout en prenant un regard de salope.

Je me suis mis à bander immédiatement tant le spectacle était excitant. Je me rapprochais d’elle lorsque la porte s’est ouverte et le manager est entré en silence, une serviette autour de la taille.

Il a regardé Marie-Flo avec concupiscence. Ma femme, le regard torve, se caressait la chatte sans se rendre compte qu’il y avait quelqu’un. A mon regard, elle s’est tournée et a poussé un petit cri de surprise et sa main est vivement venue se mettre en conque sur son sexe.

Le manager la regardait comme un loup une brebis.

– Hammam, very good, enjoy enjoy? Très bon pour santé, très bon pour santé, a-t-il ajouté en la détaillant bouche ouverte et langue pendante.

Très géné, j’ai fait signe à ma femme de rentrer dans le bassin pour au moins masquer une partie de son corps.

Azzam se fichant visiblement de mon regard choqué a laissé glisser sa serviette prenant son temps pour exhiber son corps graisseux mais baraqué et poilu comme un singe ; sous les plis de son gros ventre pendait une énorme paire de couilles avec un braquemart incroyablement épais et circoncis au bout sur un gland de la taille d’un bel abricot.

Marie-Flo le regardait avec un sourire un peu hébété comme si la situation était normale tandis qu’il s’immergeait dans le bassin comme un gros phoque.

– On va vous céder la place, ai-je dit faiblement en faisant signe à ma femme de sortir. Marie-Flo a acquiescé çorlu escort et s’est hissée sur le rebord pour attraper la serviette qui hélas a glissé dans l’eau. Confuse elle a tenté de la rattraper et ce faisant a failli perdre l’équilibre sur les marches de marbre. Le gros, incroyablement vif vu son gabarit l’a rattrapée en lui empoignant fermement les hanches et du coup la rabattant contre lui. Puis sa main gauche est descendue sur son cul et la droite est venu empoigner son nichon sous couvert de l’aider à retrouver son équilibre. Marie-Flo a du également sentir qu’un objet contondant se dressait contre son cul car je l’ai vue devenir un peu chose, comme si elle tendait sa croupe instinctivement en sentant cette virilité contre sa raie.

– Ça va, ça va, lui disait Azzam, la madame ok, la madame ok? a-t-il continué en passant ses mains sur son cul puis entre ses cuisses en observant ma réaction avant de palper ses tétons en disant,

– ici, pas douloureux, et là, et là?

Marie-Flo semblait totalement désorientée

– Ça va, ça va, merci, l’a-t-elle remerciée malgré tout sans trop oser le regarder.

– Oui, merci monsieur, merci, ai-je cru bon de rajouter pour reprendre le dessus. Nous allons vous céder la place de toute façon et rentrer à notre chambre.

– No problem, no problem, Vous pouvez sortir, personne dehors, nobody, a dit Azzam en souriant, completely private for you!

Marie-Flo du coup est sortie du bassin totalement nue, sa croupe magnifique et ses gros seins offerts aux regards de l’autre.

– Où sont les serviettes, a-t-elle demandé un peu affolée.

Je me suis hissé à mon tour sur le rebord pour les chercher

– Je vous donne, je vous donne a dit le gros qui est sorti de l’eau, pas géné que son gros sexe pointe vers le haut

– Ah bon, a dit faiblement Marie-Flo en détournant les yeux

– Bien sur jolie madame, moi aider, viens avec moi, il a empoigné ma femme par la taille et l’a entrainée dans le couloir.

Marie-Flo m’a jeté un regard éberlué et je les ai suivi en disant

– Attendez qu’est-ce que vous faites!

Azzam a répété : pas de problème, j’aide.

Et s’emparant au passage d’une serviette dans une niche prévue à cet effet, il a entrepris de sécher Marie-Flo en s’attardant sur son cul et ses seins.

– Voilà, madame bien sèche, là, non?

– Oui, a dit Marie-Flo, mais je me sens bizarre. Il fait un peu chaud, non? Je crois que je vais m’asseoir.

– Bien sur, bien sûr, a répondu Azzam qui a de nouveau pris ma femme par la taille ou plutôt par les fesses car sa main est venue palper sa croupe cambrée.

Venez par là lui a-t-il dit en l’entrainant vers une des salles de massage tandis que je suivais en silence avec une érection que je tentais de cacher derrière ma serviette. Le gros s’en est aperçu et a ricané avant de dire quelque chose en arabe à quelqu’un que je ne voyais pas.

Dans la salle, il a fait signe à ma femme

– Please sit, lui a-t-il dit en montrant la table de massage dont une partie était remontée en dossier avec deux accoudoirs sur la partie inférieure

Ma femme ne semblait se rendre compte de rien. J’étais bouche bée. La voir ainsi, nue sur cette table, ses beaux seins lourds oscillant légèrement, ses jambes écartées et remontées sur les accoudoirs, découvrant sa jolie chatte rose, et souriant poliment comme si elle était dans un salon mondain.

– Ça suffit, ai-je dit, vous êtes fou, je vais vous faire virer.

Mais le gros a claqué des doigts sans me regarder et le serveur est apparu derrière moi, à poil cette fois et avec une trique phénoménale. Il tenait à la main une petite caméra go-pro. En souriant, il est venu se placer à coté de moi, une main enserrant mon cou comme une pince. J’étais tétanisé.

Le gros m’a alors regardé et m’a dit d’un ton froid, dans un français impeccable

– Mister, vous bandez en voyant votre femme entre mes mains, pas vrai?

Je suis resté muet.

– Mais oui, a-t-il ajouté en souriant. Et puis, elle aime bien se montrer votre salope, faire baver les hommes sans rien risquer? Vous inquiétez pas, elle se souviendra de rien, ou alors vaguement que vous avez été un bon mari…

Il a alors entrepris de mettre deux doigts dans le minou de ma femme, tout en tétant goulument une mamelle. Lorsque la chatte lui a semblé suffisamment humide, il a approché son énorme gland qu’il a frotté sur ses lèvres puis s’est enfoncé d’un coup. Marie-Flo, les yeux perdus dans le vague a poussé un petit cri.

De plus en plus excité il s’est mis à palper vicieusement ses gros nibards avant de passer ses grosses mains sous ses fesses et la soulever. Il a ressorti un instant son engin qui avait doublé de volume. Puis d”un coup, il l’a enfonçé à nouveau en l’empoignant par les fesses. Le serveur m’avait lâché et filmait la scène tout en prenant soin de m’inclure parfois dans le champ. Je me branlais furieusement devant le spectacle inédit de ma belle bourgeoise d’épouse se faisant défoncer comme la dernière des catins. La vision de cette queue épaisse coulissant entre ses cuisses me rendait totalement dingue.

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